Démontrez en quoi la pièce Huis clos de Sartre illustre un grand fondement existentialiste : «l'enfer, c'est les Autres».

« ------------------------------------------------- -------------------------------------------------Conclusion partielle : En somme, tension et confrontations dans Huis clos, démontrent que-------------------------------------------------chaque personne est responsable de la souffrance de l'autre.

Exister est-------------------------------------------------une part de responsabilité grand fondement de l'existentialisme.------------------------------------------------- -------------------------------------------------PARAGRAPHE #2------------------------------------------------- -------------------------------------------------AFFIRMATION :-------------------------------------------------ARGUMENT 1 :-------------------------------------------------Preuves :------------------------------------------------- ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- -------------------------------------------------ARGUMENT 2 :-------------------------------------------------Preuves :------------------------------------------------- -------------------------------------------------Conclusion partielle RÉDACTION -------------------------------------------------Huis clos est une pièce qui comporte une grande tension croissante et plusieurs confrontations entre les trois personnages : Garcin, Inès et Estelle : «Le bourreau, c'estchacun de nous pour les deux autres » (p.42).

Ces trois personnes qui se sont croisées par hasard dans la même pièce d'hôtel ont des personnalités très différentes.Cette grande différence pousse chacun d'entre d'eux à porter un jugement sur les deux autres : «Entre assassins.

Nous sommes en enfer, ma petite, il y'a jamaisd'erreur et on ne damne jamais les gens pour rien» (p.40).

Ces trois personnages sont installés face à face de façon à générer fréquemment des confrontations et desdisputes entre eux : « Ce n'est pas par hasard que vous, vous êtes en face de moi? […] Qu'est- ce qu'ils attendent ?» (p.37).

Tous ces facteurs réunis génèrent uneinsoutenable présence de l'autre : «Vous pouvez le dire, pas un mot: j'avais beau […] Allez-vous me laisser, à présent? Je n'es pas affaire à vous » (p.49).

Dans cettepièce, toutes les conditions sont remplies pour ne pas que chacun d'entre eux puisse se soustraire aux jugements de l'autre : «Moi, je suis méchante : ça veut dire quej'ai besoin de la souffrance des autres pour exister» (p.57).

Mais malgré tout cela, toutes sortes de tentatives sont essayées pour échapper à cet enfer.

Ils tententchacun d'échapper aux jugements de l'autre par le mensonge, mais cette tentative de fuite demeure un échec: «si tu savais comme ça m'est égal.

Lâche ou non, pourvuqu'il embrasse bien » (p.80).

Garcin suggère que chacun garde le silence pour l'éternité, mais cette tentative de fuite est aussi vaine, car dans le silence l'on ne sait pasce que chacun pense des deux autres: «Je vous sens jusque dans mes os.

Votre silence me crie dans les oreilles» (p.51).

Garcin et Estelle tentent ensuite d'échapper àcet enfer en nouant une relation amoureuse mais celle-là ne sera pas non plus efficace : «Je vous vois, je vous vois; à moi seule je suis une foule, la foule […] En vaintu me fuis je ne te lâcherai pas» (p.92).

La porte s'ouvre grandement pour Garcin mais il décide toujours de rester dans cet enfer qu'il ne peut pas fuir.

Cette fuitespatiale ne pourrais mettre fin aux jugements de l'autre : «Je ne pouvais pas te laisser ici, triomphante, avec toutes ces pensées dans ta tête, toutes ces pensées qui meconcernent» (p.88).

Accabler de jugements, l'amoureuse de Garcin pense finalement que la violence est une solution pour mettre terme à cet enfer qu'ils vivent : «Elleprend le coupe-papier sur la table, se précipite sur Inès et lui porte plusieurs coups » (p.94).

En somme, la tension et les confrontations dans la pièce Huis clos,démontrent que chaque personne présente dans cette pièce est responsable de la souffrance de l'autre.

Le fait d'exister est une part de responsabilité ce qui est ungrand fondement de l'existentialisme.Nombre de mots : 496. »