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ddfc lecture linéaire: Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne

Publié le 24/04/2025

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« Cette extrait de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne intitulé Les droits de la femme qui a était écri par Olympe de Gouges durant le siècle des lumieres a pour but de denoncer la déclaration des droits de l'homme et du citoyen, cité a la fin de son récit, cette partie a pour but de marquer les esprits. A l'aide de cette extrait nous nous demanderons quels sont les liens logiques utilisées par Olympes de gouges pour démontrées que la supériorité de l'homme est sans fondements? pour y répondre nous nous appuierrons sur un plan en 3 partie? tout d'abord dans la premiere partie nous verrons la dénonciation de l'absurdité de la domintion de l'homme ensuite nous étudirons l'anaglogie de la nature basée sur l'égalité des sexes opposées avant de finir âr l'égpoisme et l'hypocrisie de l'homme 1er paragraphe : Le texte s’ouvre sur une apostrophe "Homme" (l.1) qui permet de pointer la responsabilité de celui qui est en cause dans la situation des femmes. Le nom "Homme" est employé au singulier: il désigne les hommes en général (sens générique) et s’oppose au nom "femme" de la deuxième phrase qui est accompagnée d’un déterminant défini "une". Olympe de Gouges veut ainsi montrer qu’une femme en particulier fait face à l’homme en général.

Pourcela, elle utilise le tutoiement qui signifie qu’elle se place sur le même pied d’égalité que celui qui l’accuse: voire sur au dessus car elle considere qu'une femme pourrais faire face a tout les hommes . (L.4 et 5)Une série de questions se concentre au début du texte :-Forte accusation de l’homme forcé à répondre par l’insistance de ces interrogations."Dismoi" (l.2-3): verbe de parole à l’interrogatif qui ne laisse plus aucun choix à l’homme pour répondre.Les questions rhétoriques contiennent implicitement les réponses qui apparaissent comme des accusations.

Olympe de Gouges cherche ainsi à déconstruire ce qui apparaît comme une évidence à l’homme.

Les questions sous formes d’antiphrases: "ta force ? Tes talents ?" (l.4) sont censées suggérer des réponses possibles. (l.7)Le nom "empire" apparaît deux fois dans le texte (l.3 et l.7) et est associé à des expressions péjoratives qui rendent le pouvoir de l’homme sur la femme illégitime et injuste cette expressions péjoratives pour l'homme C’est d’ailleurs bien la question qui est posée: "Qui t’a.... »

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