Dans son livre L'homme en procès, Pierre-Henri SIMON s'interroge : « Qu'est-ce que le tragique, sinon le sentiment d'une résistance obscure et insensée contre laquelle se brise la force de liberté et de raison qui est dans l'homme?» Vous apprécierez cette définition en examinant quelques-unes des situations tragiques dont la littérature et l'histoire vous offrent des exemples caractéristiques.
Publié le 10/02/2012
Extrait du document
Voici deux plans possibles
1. Plan explicatif
A. - Le Destin : une résistance obscure, insensée mais lucidement sentie.
B. - La force de tlberté, de Raison de l'homme se brisant
contre le destin provoque le Tragique
• Etant donné l'ampleur et la complexité du sujet, ce plan est acceptable.
D. Plan classique.
A. -Explication (ou Thèse).
Cette première partie est constituée par le plan explicatif,
ci-dessus.
B.- Discussion (ou Antithèse).
L'essentiel de l'émotion tragique :
C'est la conscience simultanée (a)
de la servitude humaine (b)
et
de l'Indomptable aptitude des hommes à fonder leur grandeur sur elle. (Malraux).
• Par cette citation qui va beaucoup plus loin que celle du sujet, on obtient :
(a) une liaison
(b) l'antithèse fondée sur la grandeur de l'homme.
«
...
et de son complément formant la question posée.
En examinant quelques-unes des
S~TUATIONS TRAGI
QUES (avec des) exemples CARACTERISTIQUES (de) la
littérature
et ltte) l'histoire.
Voici deux plans possibles
1.
Plan expUcatif
A.
- Le Destin : une résistance obscure, insensée mais
lucidement sentie.
B.
-
La force de tlberté, de Raison de l'homme se brisant
contre le destin provoque le Tragique
• Etant donné l'ampleur et la complexité du sujet, ce plan
est acceptable.
D.
Plan classique.
A.
-Explication (ou Thèse).
Cette première partie est constituée par le plan explicatif,
ci-dessus.
B.- Discussion (ou Antithèse).
L'essentiel
de l'émotion tragique :
C'est la conscience simultanée (a) de la servitude humaine (b)
et
de l'Indomptable aptitude des hommes à fonder
leur grandeur sur elle.
(Malraux).
• Par cette citation qui va beaucoup plus loin que celle du sujet, on obtient : (a) une liaison
(b) l'antithèse fondée sur la grandeur de l'homme..
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Dans son livre L'homme en procès, Pierre-Henri Simon s'interroge : « Qu'est-ce que le tragique, sinon le sentiment d'une résistance obscure et insensée contre laquelle se brise la force de liberté et de raison qui est dans l'homme ? » Vous apprécierez cette définition en examinant quelques-unes des situations tragiques dont la littérature et l'histoire vous offrent des exemples caractéristiques.
- Dans son livre, L'Homme en procès, Pierre-Henri Simon s'interroge: « Qu'est-ce que le tragique, sinon le sentiment d'une résistance obscure et insensée contre laquelle se brise la force de la liberté et de la raison qui est dans l'homme ? » En quoi votre connaissance des tragédies de Racine vous permet-elle de comprendre et d'illustrer ces propos ?
- Quel livre de Gide est l'histoire d'un jeune homme qui cherche bonheur et liberté dans l'obéissance à tous ses désirs : Les Nourritures terrestres, Les Chemins de la liberté ou Désir et Raison ?
- Dans son livre Parole d'homme, Roger Garaudy, estimant qu'aujourd'hui la jeunesse est bien plus influencée et formée par les mass-media que par la cellule familiale, écrit : « La famille, dépossédée depuis longtemps de sa fonction d'éducation technique, est de plus en plus évincée de sa fonction d'éducation morale : elle apparaît le plus souvent aux jeunes, non sans raison, comme une institution conservatrice et ils ne se déterminent plus par rapport à elle, sinon par opposition. C'est
- Commentez cette définition des «lumières» par Kant (article «Qu'est-ce que les Lumières ?») : «Qu'est-ce que les Lumières ? La sortie de l'homme de sa minorité, dont il est lui-même responsable. Minorité, c'est-à-dire incapacité de se servir de son entendement sans la direction d'autrui, minorité dont il est lui-même responsable puisque la cause en réside non dans un défaut de l'entendement, mais dans un manque de décision et de courage de s'en servir sans la direction d'autrui. Sapere