Dans ce corpus, nous allons étudier quatre textes appartenant au mouvement naturaliste et réaliste.

« de vie insupportables. D'abord, dans Germinal, Zola nous montre, à travers le rythme ternaire de l'énumération de trois propositions juxtaposées, les conditions de travail pénibles que doivent endurées les mineurs au quotidien.

Ce travail est également dangereux et malsain car “l'air ne circulait pas, l'étouffement à la longue devenait mortel” mais aussi car la lampe “lui brûlait le sang”. Ensuite, dans l'extrait de Quatre-vingt-treize, nous pouvons voir que l'opposition des classes sociales se manifeste dans l'apparence physique des personnages à travers l'exagération dans “je n'ai jamais été jeune” qui souligne la dureté des conditions de vie du mendiant.

Le mendiant est appelé “le Vieux”, ce qui contredit son âge de 40 ans ; Il est aussi surnommé “Tellmarch”, c'est-à-dire l'homme du peuple qui vit en marge des autres.

Ce dernier parle le plus dans ce discours, il dénonce les inégalités entre les classes sociales et l'absence de progrès sociaux par la phrase “on va, on vient, il se passe des choses ; moi, je suis là sous les étoiles”. Enfin, la vie du Père Goriot n'est pas aussi facile après tout.

Il part d'être un personnage riche à un “citron bien pressé” par ses propres filles.   Ainsi dans ce corpus nous avons montré que les gens de la société au XIXe siècle feront tout pour atteindre une classe sociale plus élevée.

Puis nous avons dénoncé les conditions de vie insupportables que ces personnages doivent endurer pour atteindre leur but.

Nous pouvons remarquer que les quatre auteurs utilisent le point de vue omniscient, c'est-à-dire focalisation zéro.

Ce procédé nous permet de mieux comprendre la vie des personnages à travers leurs pensées et leurs actions.. »