Dans Antigone Anouilh fait dire à l’un de ces personnage : « et puis surtout, se reposant, la tragédie, parce qu’on sait qu’il y a plus d’espoir ; qu’on est pris, enfin pris comme un rat, avec tout le ciel sur son dos, et qu’on a plus qu’à crier – pas à gémir, non, pas à se plaindre – a gueuler à pleine voix ce qu’on avait à dire, qu’on avait jamais dit et qu’on ne savait même pas encore, et pour rien, pour se le dire à soi, pour apprendre . » Cette définition de la tragédie peut-elle
Publié le 05/09/2018
Extrait du document
Phèdre elle est asservie sous une loi social qui interdit l’inceste quant à elle n’a pas de lien du sang, cette loi est celle de Vénus. Ce qui différencie Hippolyte et Phèdre, est Couenne car elle doit approcher les paroles à Phèdre d’ailleurs c’est elle qui découvre l’homme dont Phèdre est amoureux (v246).
Et pour finir, Anouilh énonce dans sa citation : « pas à gémir, non, pas à se plaindre », or Phèdre fait le contraire en manifestant son amour. Elle commence par avoir tout d’abord des troubles physique, comme la couleur de son visage, « je rougis, je palis … » (v273), qui montre l’intensité de son amour. : Les métaphores concernant son amours son amour permet d’associer son amour à une maladie .L’amour se manifeste d’amblé par des troubles physiques antithétiques ce qui montre par scission et par sa propre volonté, l’expression de son corps Puis dans un second lieu, il y a les troubles moraux de son amour. Ces troubles physiques sont visibles par la raison, « mon âme est perdu »(v274), ce qui montre une absence de contrôle de soi donc un accroissement de la perte de la raison .La folie de Phèdre ce montre aussi dans cette sorte de « jettement » dans la religions avec le champs lexical de la religion : « par des vœux assidus » ( v279) , « temple » (v281).
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«
celle de Vénus.
Ce qui différencie Hippolyte et Phèdre, est Couenne car elle doit approcher les paroles à Phèdre
d’ailleurs c’est elle qui découvre l’homme dont Phèdre est amoureux (v246).
Et pour finir, Anouilh énonce dans sa citation : « pas à gémir, non, pas à se plaindre », or Phèdre fait le contraire
en manifestant son amour.
Elle commence par avoir tout d’abord des troubles physique, comme la couleur de son
visage, « je rougis, je palis … » (v273), qui montre l’intensité de son amour.
: Les métaphores concernant son
amours son amour permet d’associer son amour à une maladie .L’amour se manifeste d’amblé par des troubles
physiques antithétiques ce qui montre par scission et par sa propre volonté, l’expression de son corps Puis dans un
second lieu, il y a les troubles moraux de son amour.
Ces troubles physiques sont visibles par la raison, « mon
âme est perdu »(v274), ce qui montre une absence de contrôle de soi donc un accroissement de la perte de la
raison .La folie de Phèdre ce montre aussi dans cette sorte de « jettement » dans la religions avec le champs
lexical de la religion : « par des vœux assidus » ( v279) , « temple » (v281).
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- Dans Antigone Anouilh fait dire à l'un de ces personnage : « et puis surtout, se reposant, la tragédie, parce qu'on sait qu'il y a plus d'espoir ; qu'on est pris, enfin pris comme un rat, avec tout le ciel sur son dos, et qu'on a plus qu'à crier – pas à gémir, non, pas à se plaindre – à gueuler à pleine voix ce qu'on avait à dire, qu'on avait jamais dit et qu'on ne savait même pas encore, et pour rien, pour se le dire à soi, pour apprendre . » Cette définition de la tragédie peut-elle
- « C'est reposant, la tragédie, parce qu'on sait qu’il n'y a plus d'espoir, le sale espoir ; [...] et qu'on n'a plus qu'à crier [...] à pleine voix ce qu'on avait à dire, qu'on n'avait jamais dit et qu'on ne savait peut-être même pas encore. Et pour rien : pour se le dire à soi. Dans le drame, on se débat parce qu'on espère en sortir. C'est ignoble, c'est utilitaire. Là, c'est gratuit. C'est pour les rois. » Jean Anouilh, Antigone, le Choeur. (1942). Dans quelle mesure cette célèbre déf
- C’est reposant, la tragédie, parce qu’on sait qu’il n’y a plus d’espoir. Jean Anouilh in Antigone
- Vous commenterez la conception du tragique que nous propose Jean Anouilh dans la préface de ses œuvre : « Finalement, c'est reposant la tragédie parce qu'il n'y a plus d'espoir, de sales espoirs… D'une manière ou d'une autre les jeux sont faits ». Vous commenterez la définition tu tragique en vous inspirant de vos lectures personnelles.
- Vous commenterez la conception du tragique que nous propose Jean Anouilh dans la préface de ses œuvre : « Finalement, c'est reposant la tragédie parce qu'il n'y a plus d'espoir, de sales espoirs… D'une manière ou d'une autre les jeux sont faits ». Vous commenterez la définition tu tragique en vous inspirant de vos lectures personnelles.