correction du texte de primo levi

« donc sur le temoignage du camps, et ensuite sera poursuivie par celle du sens des gestes de l'humanite. dans cet extrait , l'auteur nous donne un temoignage sur les camps d' exterminations.

nous remarquons que dans cet extrait, l'auteur nous donne le portrait de jean mais en meme temps explique a la maniere d'un sociologue, sur un ton neutre et depassionne la vie dans ses camps.

le portrait de jean se distingue par la separation entre la narration et la description.

des lignes 1 a 7, le narrateur nous presente jean.

des lignes 8 a 14 nous avons la narration.

le narrateur nous donne une vision generale des question des que se posent les detenus chaques matins.

dans ls paragraphes suivant, la description se mele a la naration. le style de ce texte se caracterise aussi par la phrase "jai deliberement recouru au langage sobre et pose du temoin plutot q'au pathetique de la victime ou a la vehemence du vergeur"dans la mesure ou primo levi expliqu se qui se passe moment par moment dans les camps.

on constate que levi ne montre ni violence ni signe de vergence. le portrait de jean s'organise en plusieurs parties.

comme dit precedemment, dans un premier temps , l'auteur nous presente jean.[ligne 2] dans un 2nd lieu l'auteur nous montre que jean sait se montrer en tant que bon pikolo (ligne 22) mais il mene aussi avec courage et tenacite son combat contre les camps.

ceci dit il n'a pas oublier que les allemands lui ont causer du tort et meme s'il est un piklo, au fond de lui il reste fidele a sa personnalite.

contrairemant a jean, alex se montre avec ses deux personnalites.

lui , fut de nature violente et sournoise.il se sentait fier de son sang et ainsi haisait les juifs.

quant il fut avec eux il avait un  comportemnt mediocre tandis qu'avec les maitres allmands il se montrait empresser et obsequieux, et avec les SS il se montrait amical.

on peut dire que c'est par cette confrontation de deux personnalite differentes que l'auteur nous donne un temoignage sur la vie dans les camps mais ausssi la nature de l'homme a se momment. de se temoignage nous pouvons determiner le sens des gestes de l'humanite. on remarque qu'aupres des detenus jean a un role tres simple.

il reste amical avec tous les detenus.

jean a une telle imporance aux camps, qu'un mot de sa part dit au bon momment et sur le bon ton pouvait beaucoup de chose.

sa parole pouvait sauver les detenus de recevoirs des coups de cravaches.

si on peut le dire jean peut. »