Corpus En quoi peut-on dire qu'il s'agit de texte qui mettent en place des mondes imaginaires qui s'affranchissent du monde réel ?
Publié le 02/11/2013
Extrait du document
«
sommes d’argent qui sont demandées, les volumes, les masses des canons qui sont de
plus en plus importantes.Jules Verne met ainsi en valeur le gigantisme des réalisations du
professeur qui dépassent ces chiffres et l’entendement humain ; il ne les exprime pas
directement mais laisse le lecteur imaginer la démesure de cet univers par des expressions
imagées : ligne 22 "Herr Schultze ne connaît pas de limites, ligne 23" demandez lui un
canon d’un poids quelconque et d’une puissance quelle qu’elle soit, il vous servira ce
canon.
Et en plus, il respectera les délais de fabrication.
Les canons ont des dimensions
sans précédent (ligne 25).
Enfin, il fait ce qu’aucun des concurrents ne peut faire (ligne
18).À l’aide de ces expressions vagues mais très éloquentes, l’auteur laisse l’imagination
du lecteur concrétiser la démesure.
En décrivant une usine éloignée du regard de tous,
isolée et hyper-protégée Jules Verne localise ce lieu de fabrication de manière
angoissante "Dans ce coin écarté de l’Amérique septentrionale" "entouré de déserts, isolé
du monde par un rempart de montagnes" "situé à cinq cents milles des petites
agglomérations humaines les plus voisines" cette description est aussi un point positif de
l'utopie qui réside génralement dans un lieu isolé.
En plus des canons évoqués et de
l’acier de la cité éponyme, cette architecture des lieux constitue un véritable dispositif
défensif, laissant percevoir les effets néfastes de la guerre.La fabrication de cet arsenal est
cependant mystérieuse et secrète : Ligne 32 propriétés spéciales, ligne légendes d’alliages
mystérieux, de secrets chimiques.Mais rien n’est officiel et ce n’est que la rumeur qui
rend cette description fantastique.
Ainsi, l’univers mis en place se veut oppressant par : la
perte des libertés individuelles, la mise en place d’un régime totalitairre et l’absence
d’information.
En nous s'appuyant sur le texte d'Eric Schimitt, nous remarquons que celui s'appuie
essentiellement sur malheure du monde actuel.
La raison pour laquelle nous interprétons
ce texte d'imaginaire est bassée sur la réaction du diable.
Nous avons tous que la
personalité du diable est la plus médiocre qu'il existe au monde cependant, face au
malheure qui touche le monde ce même diable ne ressent aucune jouissance de plus ce
dernier est mentalement affecté et se trouve en période de déprime.
Pourtant, la situation
du monde est l'un d'être idéal pour qu'un tel personnage se mette dans cet état.
Nous
pouvons relever dans le long dialogue du majordome les désastres qui affectent notre
terre: "plusieurs morts et quelques blessés par mois, trois tremblements de terre, deux
cyclones" "on gifle les enfants, on les frappe, on les tue, on les viole".
Nous sommes bien
loin de la description utopique ou le malheure n'est point visible.
Le médecin appelé par
le majordome du diable est chargé de s'occuper de son état qui lui de même a du mal à
comprendre.
Celui-ci ajoute "Tout est poue le pire dans le pire des mondes possibles" en
réponse au diabe qui dénonce que la banalité l'étouffe.
La banalité du monde ou plutôt la
bétise du monde.
Effectivement, l'évolution et le développement des structures humaines
ainsi que de sa pensé a été d'un grand renfort de la médiocrité du monde.
Comme le
néglige Jules Vernes l'abondance et la richesse de la ville dû à la révolution industrielle
est un mouvement d'une grande vitesse dans le régime totalitaire.
Ici même, "grâce au
soutien de l'intelligense, la bêtise tue beaucoup mieux qu'avant".
Ainsi, ces trois textes sont fondés sur l'imaginaire car aucun fait ou description de ces
univers sont parvenus dans ce monde.
Ces textes s'affranchisent du monde réel pour.
»
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