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Publié le 28/01/2016

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Eda ERDAL 1s1 Commentaire Composé sur Travail De nombreux auteurs ont écrit des utopies afin de mieux faire passer, à travers leurs œuvres, certaines de leurs idéologies. C’est aussi le cas pour Zola. Emile Zola est un écrivain français, de père Italien. Il naît à Paris en avril 1840, puis grandit à Aix en Provence. Bien qu’aujourd’hui son talent littéraire soit connu, il échoue à deux reprises au baccalauréat. Tout au long de sa vie, il exercera plusieurs fonctions avant de devenir journaliste. Zola est actif, puisqu’il s’intéresse à la politique, et défend notamment l’officier juif lors de l’affaire Dreyfus. Il s’intéresse aussi à la place de l’individu dans la société, et écrit pour cette raison en 1901 Travail, auquel nous allons nous intéresser à un extrait. Il décède la nuit du 29 septembre 1902, intoxiqué. Travail est le troisième roman du cycle romanesque « Les Quatre Evangiles », créé par Zola à partir de 1898. Dans son œuvre, l’auteur nous présente sa cité idéale à la manière d’une utopie, présentant une organisation du travail plus juste pour les ouvriers, et critique ainsi la société de son époque. C’est une œuvre qui fait partie du naturalisme. Nous nous demanderons ainsi comment Zola parvient à transmettre les défauts de la société dans laquelle il vivait à travers une utopie. D’une part, nous verrons en quoi la cité créée par Zola est idéale, puis dans un second temps, comment Zola dénonce la société contemporaine. Premièrement, nous allons voir que la cité du Bonheur est une utopie avec une société idéale. Zola fait l’éloge de la cité dont il en est l’auteur. En effet, il la nomme « La cité du Bonheur », qui prouve que c’est une utopie, puisqu’elle est inexistante en réalité, et nous fait penser que ses habitants sont plein de joie. Cette qualification de cité pleine de bonheur revient aussi à la ligne 25 : « les prétendues utopies du bonheur universel devenaient possibles ». Il la décrit de manière méliorative, puisqu’aux lignes 4 et 5 on peut lire «dans le commun idéal, dans le royaume du ciel mis enfin sur Terre ». Dans cette citation, on y trouve une métaphore qui se rapporte à la religion, et l’auteur compare sa cité au paradis. L’adverbe « enfin » utilisé permet de deviner que cette société nouvelle a été attendue par l’humanité entière depuis toujours. Il y a aussi une gradation ascendante, puisqu’on passe d’un lieu décrit méliorativement comme « idéal », où tout le monde est en accord, à un lieu qu’on peut qualifier de divin. D’autre part, on retrouve aussi une autre gradation ascendante à la ligne 6 : « Et c’é...
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« Nous nous demanderons ainsi comment Zola parvient à transmettre les défauts de la société dans laquelle il vivait à travers une utopie.

D’une part, nous verrons en quoi la cité créée par Zola est idéale, puis dans un second temps, comment Zola dénonce la société contemporaine. Premièrement, nous allons voir que la cité du Bonheur est une utopie avec une société idéale. Zola fait l’éloge de la cité dont il en est l’auteur.

En effet, il la nomme « La cité du Bonheur », qui prouve que c’est une utopie, puisqu’elle est inexistante en réalité, et nous fait penser que ses habitants sont plein de joie.

Cette qualification de cité pleine de bonheur revient aussi à la ligne 25 : « les prétendues utopies du bonheur universel devenaient possibles ».

Il la décrit de manière méliorative, puisqu’aux lignes 4 et 5 on peut lire «dans le commun idéal, dans le royaume du ciel mis enfin sur Terre ».

Dans cette citation, on y trouve une métaphore qui se rapporte à la religion, et l’auteur compare sa cité au paradis.

L’adverbe « enfin » utilisé permet de deviner que cette société nouvelle a été attendue par l’humanité entière depuis toujours.

Il y a aussi une gradation ascendante, puisqu’on passe d’un lieu décrit méliorativement comme « idéal », où tout le monde est en accord, à un lieu qu’on peut qualifier de divin.

D’autre part, on retrouve aussi une autre gradation ascendante à la ligne 6 : « Et c’était l’admirable, le victorieux spectacle » qui insiste sur la grandeur de la Cité du bonheur.

De plus, l’expression « sans cesse » qui s’y suit montre que ce « victorieux spectacle » fait partie du quotidien de la cité.

D’autres citations prouvent que Zola en fait un éloge comme à la ligne 6 : « les toitures aux couleurs vives, parmi les arbres », et « allègre » à la ligne 11 qui montrent que cette cité est aussi belle visuellement qu’agréable en tant que société, puisqu’elle est dotée de verdure, colorée, et qu’elle est joyeuse.

Le peuple vivant dans cette cité est aussi bien présenté par Zola.

En effet, on apprend qu’ils sont instruits : « les générations nouvelles, instruites » (l.10), « peuple […] instruit enfin » (l.26), et cela a un impact sur le lecteur puisque l’instruction,. »

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