commentaire Zola
Publié le 17/04/2016
Extrait du document


«
.
Comme il est dit dans le textes, le père de Nana ne compte plus pour elle
cela est exprimé dans un autre discourt indirecte libre « … quand un père
se soule comme le sien se soûlait, ce n'est plus un père c'est une sale bête
dont on voudrait se débarrassé » On retrouve dans ces propos une grande
révolte, Nana n'éprouve plus aucun amour pour son père mais du dégoût
elle le voit comme un fardeau.
La mère n’échappe pas a la règle, celle-ci se
dégrade en même temps que le père petit a petit : « Et maintenant, sa mère
dégringolait à son tour dans son amitié.
Elle buvait elle aussi » On
découvre également une femme profiteuse qui comme est dis dans le texte
vient chercher son marie chez le père colombe juste pour pouvoir combler
son manque d'alcool pour ensuite ressortir « avec les yeux hors de la
tête »Elle fait également preuve d'égoïsme notamment envers sa fille qui
lui reproche de ne pas comprendre la boisson et d'être intéressé par d'autres
friandises.
On peut remarquer avant cela une scène tout a fait
caractéristique de tout cela « Lorsque Nana, en passant devant
l'Assommoir apercevait sa mère, le nez dans la goutte avachie au milieu
des engueulades des hommes...
» On retrouve une scène identique dans les
phrase suivantes ou l'auteur fait preuve d'ironie en décrivant cela comme
« un beau tableau » il décrit également les parents comme un papa pochard
et une maman pocharde, deux adjectif plutôt dégradant pour ceux-ci .
Il
décrit également le lieux ou ils vivent comme « un tonnerre de Dieu de
cambuse » ou la nourriture manque et puant l'alcool .
Zola rajoute : « Une
sainte ne serait pas restée là dedans » qui montre encore plus le lieux
malsain dans lequel vit Nana.
« Tant pis ! Si elle prenait de la poudre
d'escampette un de ces jours, ses parent pourraient bien faire leur mea
culpa...
» Ce discourt indirecte libre prouve l'indifférence des parents
envers leur fille, ils assumeraient complètement que celle-ci quitte la
maison jusqu'à raconter qu'ils l'ont poussés eux-même dehors.
On retrouve une troisième fois la même scène comme ci Zola voulait
insister sur cela c'est a dire le père et la mère dans un état abominable, le
repas toujours froid, la pièce a peine éclairé décrit ici comme un taudis.
De
plus on peut relevé le verbe bégayer comme verbe de parole avant la
phrase de la mère montrant l'état pitoyable dan lequel elle se trouve..
»
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