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Commentaire Mélancholia de Victor HUGO

Publié le 20/05/2012

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hugo

          Victor Hugo grand auteur du 19ème siècle s'est tourmenté tout au long de sa vie, du sort des misérables, des pauvres et des orphelins, il a combattu contre toute formes d'injustices sociales. Dans Mélancholia poème en alexandrins qui fait partie des Contemplations sortie en 1856, il argue le travail difficile et fatiguant des enfants. Nous étudierons d’abord l’exploitation des enfants dans le monde abominable de l’usine, puis ses sentiments et ses idées de justice et de liberté.

 

         C’est avec réalisme qu’Hugo nous décrit l’état physique des enfants. Il insiste sur leur maladie « que la fièvre maigrit (l02)«, leur épuisement « bien las (l13)« et leur manque d’enthousiasme. La couleur évoquée dans ce poème est  pales «  Aussi quelle pâleur!, la cendre est sur leur joue (l12)«. 

hugo

« Victor Hugo grand auteur du 19ème siècle s'est tourmenté tout au long de sa vie, du sort des misérables, des pauvres et des orphelins, il a combattu contre toute formes d'injustices sociales.

Dans Mélancholia poème en alexandrins qui fait partie des Contemplations sortie en 1856, il argue le travail difficile et fatiguant des enfants.

Nous étudierons d’abord l’exploitation des enfants dans le monde abominable de l’usine, puis ses sentiments et ses i dées de justice et de liberté. C’est avec réalisme qu’Hugo nous décrit l’état physique des enfants.

Il insiste sur leur maladie « que la fièvre maigrit (l02) », leur épuisement « bien las (l13) » et leur manque d’enthousiasme.

La couleur évoquée da ns ce poème est pales « Aussi quelle pâleur !, la cendre est sur leur joue (l12) ».

Ces enfants sont régit par l es adultes qui les exploitent .

Victor Hugo insiste sur leurs conditions de travail « ils s’en vont travailler quinze heures sous des meules (l04) ».

L’auteur décrit de manière fantastique le monde de l’usine.

Comme nous le montre cette personnification des machines « sous les dents d’une machine sombre. (l07) ».

Cet univers est méphistophélique , la gradati on croissante « prison, bagne, Enfer (l06 -09) » nous plonge dans ce monde esclavagiste que subissent ces enfant innocent s.

En eff et, Hugo oppose l’impuissance des enfants « accroupis sous les dents d’une machine sombre ()» à la puissance de ces machines infernales .

Dans cet univers froid et dur « tout est d’airain tout est de fer (l10) » Hugo introduit des adverbes de temps qui suggère le travail répétitif et monotone «éternellement, même mouvement, quinze heures sous les meules (l)04 ».

Dans ce monde éternellement fatiguant et impitoyable , le p oète va utiliser des verbes puissants pour exprimer son désaccord avec cette forme d’ esclavage « aie, qui tue (l19) ».

Il pense aux risques que peut entraîner ce travail injuste « Et qui ferait d’apollon un bossu et de voltaire un crétin (l22) », de façon à montrer l’absurdité de leur erreur que commettent les adultes envers ces âmes innocentes .

Il insiste aussi sur le fait que le s jeunes travailleurs sont en situation de détresse alors que tout le mond e ferme les yeux et font semblant de ne rien voir .

C e que dénonce aussi H ugo c’est la surdité des hommes par rapport à cet asservissement .. »

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