Commentaire littéraire sur l'extrait du chapitre dans L'assommoir d'Emile Zola
Publié le 06/06/2012
Extrait du document
Dans la vie habituelle dans le 20ème siècle, il y a certaines choses et situations qui se passent, par exemple « les bousculades des gens «. Ces genres de choses se passent tout les jours, mais personne n’y réfléchirent ou n’en prend conscience. En revanche, dans l’extrait du livre « L’Assommoir « d’Emile Zola un roman réaliste publié en 1877. Auxquelles le personnage principal : Gervaise, admire tout cela. Elle prend conscience de tout. Tout cela nous amène à nous poser la question : Est-ce que l’environnement décrit du point de vue de Gervaise est vraiment véritable à la réalité ?
«
Ajouter a ceci nous savons que c’est une maîtrise associé à un espace perçu par Gervaise comme
dilaté.
Par exemple le fait que Paris est une agitation de la ville et province le contenus des deux rues
voisines.
Il y aussi le petit ruisseau du caniveau qui a ses yeux est une grande rivière propre et a
longue vie mais enfaite cette rivière représente peut- être sa vie, ceci nous propose que peut -être sa
vie et comme la rivière a ses yeux c’est parfait mais au fond elle n’est pas et cela causera des lourdes
conséquences.
Par ailleurs il y un environnement humain rassurant com me le montre quand c’est mentionné dès les
première phrase où Gervaise « saluait les amis d’un petit signe de tête affectueux » .
Dans cette
phrase il y a deux mots de sens proche qui s ont « amis » , qui est associé à un article défini à valeur
généralisant.
L’autre mot est « affectueux ».
Ceci nous montre un environnement apparemment
bienveillant car c’est un environnement apparemment bienveillant.
De plus il y a les descriptions naturalistes, d’un quartier populaire .
Qui sont p rise en charge par le
point de vue de Gervaise et donc le narrateur se dissimule.
Il y a aussi donc les références existantes
c’est à dire rue de la goutte d’ Or, rue des Poissonniers, la grande maison .
Qui est repérée pas Zola
lors de ses explorations du quartier .
Il y aussi les notations réalistes de rues avec des ornières et des
revêtements inégal.
Comme le montre le narrateur quand il décrit les « cailloutis en pente raide,
trous du gros pavé bossué ».
Enfin il y a les éléments d’observations attentive par Gervaise c’est a
dire des détails du quotidien qui est un quartier contrasté entre le cal me de la rue de la goutte d’or
et l’ agitation des rues de paris.
C eci sont des notations précises concernant les gens qui sont « les
passants » et « des femmes causaient bas sur les portes » et aussi la description efficace de
l’agitation .
Qui est une construction systématique des compléments de nom avec l’ antéposition
dominante des bruits .
En effet quand le narrateur dit « un vacarme de voitures, un continuel
piétinemen t de foule » et les cahots des camions, les bousculades des gens » qui mettent en
évidence la « cohue populaire » grâce aux allitérations des sons [p], [b] et [k] qui sont des sons qui
explosent a l’oreille comme le vacarme décrite.
Tout cela nous prouv e que c’est un environnement
apparemment bienveillant.
En revanche il y aussi des indices inquiétants cependant .
E n effet l’environnement humain hostile où
Gervaise salut aux amis qui se situe « au milieu des cancans » qui propos e des hostiles et des
mensongers.
De plus il y un danger interne c'est -à -dire quand Gervaise est décrite comme
débonnaire , dans cet extrait .
Mais avec le « gonflement de vanité d’une commerçante qui a un bout
de trottoir a elle » qui est certes mais cela s’excuse car les cara ctéristiques qui sont montrée sont
comme ceux d’une constante « commerçantes » mais la vanité est pareil que la caractéristique
clairement négative qui peut la desservir.
Par ailleurs il y aussi un environnement spatial qui est peut être hostile.
E n e ffet, Gervaise est une
modeste ouvrière qui « aim la rue » mais cette rue est décrite comme fondamentalement chaotique
qui peut être symbolise la vie de Gervaise.
Il y aussi la vision que Gervaise a de l’eau teintée , qui
passe en ruisseau devant sa boutiq ue qui était « un fleuve large, qu’elle voulait très propre » a ses
yeux qui est comme sa vie .
Q u’elle veut sans taches et aussi comme son travail qui consiste à laver
les salissures des gens, afin d’obtenir les couleurs « les plus tendres » mais ce sont des « caprices »
c’est à dire quelque chose sur quoi l’on ne peut pas compter et comme Gervaise est au milieu des
cancans, ces belles couleurs sont au milieu de la boue noire.
En conclusion Gervaise est une femme heureuse, qui est fière de son environnement et son espace
autour d’elle mais cette espace n’est pas la vérité qu’elle voit à ses yeux.
Elle voit les situations et
objets différemment à ce qu’elles sont .
Ceci nous fait penser à sa vie.
Elle pense que toute est bien
et parfait comme le fleuve mais en vérité sa vie n’est pas parfaite et même en difficulté dans son
avenir, mais elle ne voit ceci pas comme cela..
»
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