Commentaire littéraire sur la lettre IV « Les liaisons fatales » de Pierre Choderlos de Laclos.

« victoire tels que « réussir » l.24, « succès » l.25 , « gloire » L 26, « triomph e »l.28.

qui accentue cette quête de succès.

Enfin, le Vicomte use d’un discours énergique.

En effet le discours d’un conquérant se doit d’être énergique et ce texte le montre bien.

C’est ainsi que nous pouvons voir que le pronom personnel « je » est très présent dans ce texte tel que « je suis » l.4, « je ne me rappelle … »l.4, « je désire »l.5 et bien d’autres , qui montre ainsi que le Vicomte Valmont veut s’i mposer dans cette lettre et ainsi montre ce côté énergique du vicomte.

De plus , nous pouv ons voir que les points sont peu présent au contraire les virgules elles sont très prés entes .

Les phrases contiennent ainsi beaucoup de virgules et donc démontre ainsi un rythme énergique .

Ainsi nous avons vu que cette lettre montre le côté conquérant du Vicomte de Val mont .

Cependant cette lettre aborde également un côté moins prestigieux du Vicomte de Valmont .

Nous allons montrer ensuite que ce tte lettre du Vicomte de Valmont expose le portrait d’un véritable séducteur qui met tout en œuvre pour achever ses projets.

Tout d’abord , c’est la façon dont il m énager la Marquise de Merteuil qui le montre.

En effet, dés les prem ières lignes, semble essayer de flatter la Marquise, de sorte à ne pas la heurter quand à inacceptation de son compromis.

Ceci illustré par la présence des oxymores «Vos ordres sont charmants » l.1) ou encore « vous feriez chérir le despotisme » l.2 , et, de la même façon, les nombreuses apostrophes : « ma très belle Marquise » l .9 , « Dépositaire de tous les secrets de mon cœur » l.19 Ainsi, par un procédé habile, Valmont ménage la Marquise et effectue une progression croissante de son propos.

D’aut re part, c’est la relation entre le Vivomte Valmont et la Marquise de Mertreuil qui fait ai nsi ressortir son côté séducteur.

En effet , Valmont et la Marquise semblent avoir été amants : « je regrette » l.

3, « je ne me rappelle »l.4, des termes qui relatent la présence inéluctable de souvenirs , de sentiment passé.

Ce rappel d’un passé commun n’est pas insignifiant puisqu’il permet à la Marquise de Merteuil de renouer avec une histoire heureuse grâce à l’emploi du pronom personnel pluriel « nous » l.9 ; l.11 , et du possessif « notre » l.9 e t contribue aux louanges de cette ancienne amante .

` Et enfin ,nous pouvons voir que le Vicomte est libertin .

Il y a une lutte, un combat, un « grand projet »l.20 , une « entreprise »l.25, un prix à r emporter ».

Son di scours ne correspond pas à celui d’un homme amoureux mais plutôt à celui d’un « Dom juan » menant une ba taille.

La femme est un trophée que Valmont veut posséder.

Valmont endosse un déguisement de prince charmant pour mieux saisir sa proie.

L’extrait proposé met en scène troi s conquêtes que Valmont a obtenue ou. »