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Commentaire littéraire: la bête humaine chapitre X (Zola)

Publié le 22/09/2018

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zola
D’autre part, ce texte nous révèle un registre pathétique. La souffrance est suggérée par le cheval suite au déraillement de la machine. Ainsi, le cheval « n’était pas mort » ; cela amplifie la souffrance car le cheval est sur le point de mourir. En plus d’être mourant, le cheval subit une « déchirure au ventre »et « un spasme d’atroce douleur » ; Il est vivant mais ses blessures lui font horriblement souffrir, « il râle d’un hennissement terrible », comme un appel au secours. Cette scène sensibilise le lecteur et provoque la tristesse du personnage.
La souffrance et le registre pathétique sont également révélés par des exclamations. Ces exclamations sont les cris d’un survivant appelant au secours. Ainsi, l’homme crie « A moi ! Au secours ! … Oh ! mon Dieu ! je meurs ! au secours ! au secours ! ». L’homme souffre d’autant plus que ses paroles sont entendues comme des « hurlements inarticulés de bête ».De ces souffrances, le lecteur ressent de la compassion et de la pitié.
Les registres pathétique et tragique sont donc fortement développés dans ce texte. Ils mettent en valeur les conséquences du drame ainsi que la souffrance des personnages.

Comme nous l’avons donc montré, la description détaillée ainsi que les registres permettent de mettre en valeur l’horreur de l’accident de la locomotive. Zola a réussit à décrire précisément l’évènement tout en gardant une ambiance hostile. Il a utilisé pour cela la forte personnification de la locomotive afin que le lecteur se représente la scène. La mise en avant des registres a permis de faire ressortir les émotions Cette tragédie marque l’esprit du lecteur et en fait donc un moment important du roman.
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« ressent alors un sentiment d’effroi. D’autre part, ce texte nous révèle un registre pathétique.

La souffrance est suggérée par le cheval suite au déraillement de la machine.

Ainsi, le cheval « n’était pas mort » ; cela amplifie la souffrance car le cheval est sur le point de mourir.

En plus d’être mourant, le cheval subit une « déchirure au ventre » et « un spasme d’atroce douleur » ; Il est vivant mais ses blessures lui font horriblement souffrir, « il râle d’un hennissement terrible », comme un appel au secours.

Cette scène sensibilise le lecteur et provoque la tristesse du personnage. La souffrance et le registre pathétique sont également révélés par des exclamations.

Ces exclamations sont les cris d’un survivant appelant au secours.

Ainsi, l’homme crie « A moi ! Au secours ! … Oh ! mon Dieu ! je meurs ! au secours ! au secours ! ».

L’homme souffre d’autant plus que ses paroles sont entendues comme des « hurlements inarticulés de bête ».De ces souffrances, le lecteur ressent de la compassion et de la pitié. Les registres pathétique et tragique sont donc fortement développés dans ce texte.

Ils mettent en valeur les conséquences du drame ainsi que la souffrance des personnages. Comme nous l’avons donc montré, la description détaillée ainsi que les registres permettent de mettre en valeur l’horreur de l’accident de la locomotive.

Zola a réussit à décrire précisément l’évènement tout en gardant une ambiance hostile.

Il a utilisé pour cela la forte personnification de la locomotive afin que le lecteur se représente la scène.

La mise en avant des registres a permis de faire ressortir les émotions Cette tragédie marque l’esprit du lecteur et en fait donc un moment important du roman.. »

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