Devoir de Philosophie

commentaire francais

Publié le 07/01/2018

Extrait du document

BEAUFORT Margaux 2nd12 Commentaire de français Nous avons étudié le poème « Brumes et pluies » de Baudelaire, après plusieurs débats en classe nous nous demandons si il existe une relation paradoxale entre Baudelaire et les saisons. Pous commencer, nous allons étudier le tableau de ce poème, puis la relation paradoxale et enfin la demande d’apaisement. En premier plan, nous voyons que l’ambiance de ce poème est ténébreuse et funèbre, on le voit bien lorsqu’il dit « pleins de choses funèbres », « vos pâles ténèbres ». La structure de ce poème est un sizain irrégulier, composé de strophe et de phrase, ainsi que de sonnets irréguliers (le sonnet est apparu en Sicille au XIVe siècle) comportant une surprise en dernière phrase (celle-ci nous fait com...

« peut dire qu’il les personnifient.

Dans l’ensemble sa déclaration rend un effet de tristesse avec tous ses termes tristes et sombres cités auparavant.

Il est question d’une douceur dans ses propos mais pas une douceur « agréable » comme on pourrait le penser en entendant ce mot.

Ici cette même douceur exprime la douleur du poète, il se sent mal, triste, car c’est comme si il disait adieux aux saisons, comme si c’était la dernière fois qu’il leur parlait ou encore les voyait « fins », « doux au cœur », « endormir », etc… Ici le plus sombre est l’auteur en lui-même « Mon âme […] ailes de corbeau ».

Ceci entraine un aspect encore plus paradoxal car celui-ci aime les saisons sombres de l’année, le froid, la grisaille.

Enfin, le poète exprime une demande d’apaisement, il trouve la solution de la mort exprimée par le terme « endormir » qui revient à plusieurs reprises.

Il demande à ce que cette douleur cesse « endormir la douleur », elle semble insuportable et inôtable.

On peut également penser qu’il trouve une autre solution, celle du sexe pour oublier la douleur « endormir la douleur sur un lit hasardeux ».

Il pense que combattre le sentiment de la souffrance par le sentiment du plaisir est une solution pour estomper ou encore vaincre la douleur.

Dans tous ses propos nous avons l’impression qu’il ne reste pas d’espoir, que celui-ci traverse une épreuve en continuïté dont il ne sortira pas s’il ne trouve pas un moyen de l’abattre ( la douleur).

C’est pour cela que tout le poème ressemble à une berceuse.

Pour conclure, après tout ce qui a été prononcé auparavant, nous pouvons dire qu’il existe bien une relation paradoxale entre Baudelaire et les saisons.. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles