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Commentaire de texte sur Bel-Ami

Publié le 16/02/2022

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« Commentaire composé Dans ce roman publié en 1885, Guy de Maupassant (1850-1893) raconte l'histoire de Georges Duroy, déterminé à réussir sa vie à Paris, dont sa carrière n’est pas sans rappeler les personnages balzaciens.

Ce héros a audacieusement attiré les personnes qu'il a rencontrées au cours de sin voyage comme les lecteurs qui ont découvert ses aventures.

Ce héros, qui s'appellera bientôt Bel-Ami en raison de son amitié féminine, est ce genre d'ambitions.

Dans cet extrait, il est allé à l'invitation d’un camarades.

Il était autrefois un soldat comme lui et est maintenant un célèbre journaliste politique: Georges Duroy a vu l'opportunité de rencontrer le monde dans lequel il rêvait d'entrer, celui de la bonne société. Ce qui nous amène à nous demander comment dans cet extrait le narrateur évoque-t-il l'héritage contradictoire des émotions du personnage ? Dans une première partie, nous étudierons la mauvaise image que ce fait le personnage de lui-même, sa peur du ridicule, la façon dont il s'est dévalorisé, puis comment il a retrouvé confiance en lui et la manière dont cette confiance s'est manifestée. Duroy dans cet extrait est présenté comme un personnage pauvre.

Le champ lexical de la négligence peut être relevé dans ce passage, il décrit sa toilette par l’adjectif « défectueuse », son pantalon est « trop large » et a une apparence « fripée ».

Sa situation matérielle (est précaire), est d’autant plus flagrant, chez lui, car Duroy est, dans cet extrait, dans la gêne au niveau financier, il n’est pas riche et nous le voyons notamment quand le narrateur dit qu’il n’a qu’un « petit miroir à barbe », l’adjectif « petit » qui rappelle sa condition modeste d’autant plus que ce dernier ne lui permet pas de se voir entièrement, alors que dans les escaliers de l’immeuble de Forestier il y a des « hautes glaces » à chaque étage, qui font référence au prestige,à la richesse et à l’allure… C’est un pauvre qui veut faire paraître aux autres qu’il est riche « par la chemise de quatre francs cinquante achetée le matin même au Louvre, et dont le plastron trop mince se cassait déjà.

» Alors que « Ses autres chemises, celles de tous les jours, ayant des avaries plus ou moins graves », il n'avait pu utiliser même la moins abîmée.

». »

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