Commentaire critique sur le Meilleur des Mondes par Aldous Huxley

À mon avis, la société dans laquelle la race humaine est le plus heureuse, est la nôtre. D’abord parce que vraisemblablement, il y a plusieurs failles dans la société du meilleur des mondes. Pour commencer, il y a Bernard, le personnage principal, qui démontre les premiers signes que ce ne sont pas tous les humains qui sont bien dans cette société, ensuite il y a l’existence des îles où l’on expédie les gens qui, comme Bernard ou Helmholtz, parviennent à atteindre un certain niveau de déconditionnement que l’on juge dangereux pour le reste de la société. Si de telles îles existent, et qu’elles regroupent plusieurs humains qui raisonnent «comme nous«, même s’ils sont considérés comme anormaux dans la société du Meilleur meilleur des mondes, il demeure que peut importe si nous subissons un conditionnement ardu, certains esprits déjoueront ces manières. L’être humain est fondamentalement créée pour penser, pour élaborer de nouvelles technologies, pour tout simplement évolué, s’exprimer, ressentir. Même la science qu’il crée lui-même ne pourra pas anéantir sa nature profonde. Il y a une raison pour laquelle nous sommes comme nous sommes ; il ne faudrait pas confondre désir de perfectibilité avec dénaturation.