Commentaire Composée : Philip K. Dick – Blade Runner
Publié le 24/08/2012
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Page 37-42, version anglaise :
« When he landed the police department hovercar… « à « the miniscule number of Nexus-6 who balk – «
Philip K. Dick reste, jusqu‘á nos jours un des écrivains plus reconnu pour son œuvre de science-fiction . Dans ses œuvres, il traite des questions centrales de l’humanité d’un point de vue sceptique auprès des autorités et des pouvoirs soutenu par des technologies . Un aspect n’étant pas frappant dans le cadre de la guerre froide . Le roman « Do androids dream of electric sheep ? « a été écrit par Philip K. Dick vers le final d’une période d’avoir écrit une vingtaine de romans de science-fiction dans l’année 1968 . Tandis que ses œuvres étaient plutôt inconnu de ses temps vivants, ce livre est devenu le fameux film « Blade Runner « . Celui Étant seulement le début de la découverte de ses œuvres par Hollywood. La partie du livre que nous traitons ici est situé au début du roman où le lecteur fera connaissance de l’instrument « Voigt-Kampff-Test « dû à lequel le protagoniste Rick Deckard sait différencier des êtres humains des androïdes . La question centrale de l’humanité dans l’œuvre de Dick se pose ici dans le cadre d’une lutte entre le vivant et le mort . Pourquoi un androïde se condamne-t-il soi-même au moment où il réalise qu’il va être fusilé ?
«
androïdes) que le Voigt-Kampff test est effectué .
Commençons directement avec le nom de ce test, comme il est vraisemblable que le la choix du nom n'était pas au hasard : Kampf(f) veut dire la lutte/ le combat enallemand .
Dick, étant familier partiellement avec l'allemand sans doute (dû aux faits historiques) l'a su .
C'est en effet avec cette machine que Rick Deckard fait letest si un être qui parait humain, vraiment est humain .
Il parait défendre avec le Voigt-Kampff-Test l'humanité et le vivant auprès le mort et l'artificielle .
Encore, ici,nous trouvons un des paradoxes dickiens : Sans l'aide de cette machine Rick Deckard ne serait pas capable de lutter en faveur du non-artificiel .
Et c'est exactement cette paradoxe que Rachel Rosen sait jouer avec, « her black eyes flamed up » (cf.
p.
42), quand elle approche à Deckard que la police « can't do an adequate job inthe simple matter of detecting the minuscule number of Nexus-6s who balk-« (cf.
p.
42).
Malgré tout le test est le seul instrument qui permet à lui d'exercer son travail .
Sans cette machine il ne pouvait pas déterminer les faits comme le mouvement de l'iris pour identifier la capacité d'être empathique – ce qui est, dans cettehistoire, apparement la seule différence entre le vivant et le mort .
Nous pouvons donc dire que cette partie du livre explique au lecteur implicitement la valeur de la vie .
La vie est la force infini et la mort peut être vu comme le seul risque d'elle, faisant en même temps que la vie est un état incertain et fragile .
L'opposition des êtres humains aux androïdes semble être la lutte final del'humanité, après que presque tous les moyens de subsistance étaient détruit par l'humanité soi-même .
Face aux possibilités technologiques chaque fois plusdéveloppé, Philip K.
Dick semble ici exprimer ses doutes et ses peurs auprès un technicisme de la vie .
Dans une future, ne devrait-on pas protéger mieux nos moyensde subsistance ? Jusqu'à quel point peut un renfort technique être une aide à l'humanité ? Ce sont des questions qui, dès les années 1960-70, n'ont pas perdud'actualité – même si on est loin déjà de la guerre froide : Avec les recherches en génétique humain et vétérinaire par exemple, la technologie médicinale ouvre laporte à des « vies » artificielles .
La question générale est donc de savoir si l'humanité détruira ses propres moyens de subsistance ..
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