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Commentaire comparé, "le curé et le mort" et "la laitière et le pot au lait."

Publié le 05/09/2018

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niveau que Perette, la destinée des petits est comparable à celle des grands : c’est donc un exemple d’autorité. Cette morale est renforcée par un présent de vérité générale, au vers 34 en particulier. Mais les morales ont un caractère original car d’une part dans la première, l’auteur s’implique lui même sur le mode lyrique, des vers 38 à la fin, en mettant en évidence son goût pour la solitude, la méditation et le rêve. Sa déception brutale dans les derniers vers a un caractère humoristique. Dans la seconde, la morale n’est pas exprimée du tout. Le récit comportant implicitement une critique acerbe du comportement du curé et La Fontaine se contente dans le clin d’oeil du dernier vers d’assimiler la destinée du curé à celle du pot au lait. Ceci pour montrer que la destinée des orgueilleux est bien souvent dérisoire. 

Nous pouvons affirmer suite à cette étude, que nous avons à faire à deux textes pittoresques et varié, mais disposants d’une morale commune. Les personnages sont cependant differents, le curé étant avide de richesse et souhaitant gagner de l’argent sur le dos du mort, la laitière elle, est ambitieuse et rêve d’une vie meilleur sans se servir d’autrui.

« Cette morale est renforcée par un présent de vérité générale, au vers 34 en particulier.

Mais les morales ont un caractère original car d’une part dans la première, l’auteur s’implique lui même sur le mode lyrique, des vers 38 à la fin, en mettant en évidence son goût pour la solitude, la méditation et le rêve.

Sa déception brutale dans les derniers vers a un caractère humoristique.

Dans la seconde, la morale n’est pas exprimée du tout.

Le récit comportant implicitement une critique acerbe du comportement du curé et La Fontaine se contente dans le clin d’oeil du dernier vers d’assimiler la destinée du curé à celle du pot au lait.

Ceci pour montrer que la destinée des orgueilleux est bien souvent dérisoire.

Nous pouvons affirmer suite à cette étude, que nous avons à faire à deux textes pittoresques et varié, mais disposants d’une morale commune.

Les personnages sont cependant differents, le curé étant avide de richesse et souhaitant gagner de l’argent sur le dos du mort, la laitière elle, est ambitieuse et rêve d’une vie meilleur sans se servir d’autrui.. »

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