commentaire brise marine mallarme
Publié le 27/06/2013
Extrait du document
«
b) Le refus des liens
Il veut se couper d'une situation familiale :
Au vers 8, Mallarmé emploie l'adjectif possessif de la 3ème personne pour parler de son propre enfant et
l'article défini « la » pour qualifier sa propre femme.
On retrouve également l'idée de lassitude.
Sur le plan syntaxique :
- triple occurrence de la négation « ni »
- pronom indéfini « rien »
- la conjonction de coordination « et » traduit une insistance
- le passé composé traduit ici l'ennui contrairement au participe présent du vers 11
Tous les éléments qui pourraient le retenir soulignent cependant catégoriquement l'impuissance de ces liens.
La seule solution est le voyage vers un ailleurs exotique.
II- Le voyage rêvé
a) Le voyage désiré se traduit par :
Le voyage rêvé et voulu (=> avec la double exclamation "fuir! là-bas fuir!" + verbes partir) a des allures
exotiques et baudelairiennes.
L'image des oiseaux est révélatrice (elle implique la liberté).
Le désir de partir est
évoqué plusieurs fois dans le texte : récurrence du verbe « fuir » ; forte ponctuation qui traduit l'enthousiasme ;
le futur négatif « ne retiendra » --> caractère irréversible.
Ce voyage se passe donc dans les cieux, mais aussi dans la mer.
Les deux sont d'ailleurs mélangés (" les.
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- COMMENTAIRE : BRISE MARINE DE MALLARME
- Commentaire Brise Marine, Mallarmé (français)
- BRISE MARINE, MALLARME
- Commentaire de texte Brise Marine, Stéphane Mallarmé
- brise marine