Commentaire : Aube d'Arthur Rimbaud
Publié le 24/06/2012
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Tout au long du texte, on fait le rapprochement entre l’aube et une personne. Le poète en parle implicitement avec les termes « déesse « et « son immense corps «. S’établit alors une véritable course poursuite entre lui et cette personne. On trouve une personnification le « wasserfall blond « qui peut signifier une longue chevelure blonde, celle peut être de cette inconnue. Tandis que la « déesse « fuit le narrateur essaye de la poursuivre, on remarque une comparaison « comme un mendiant sur les quais de marbre«. Les termes « je la chassais « se réfère au lexique de la chasse qui fait penser à un humain (le poète) et un animal (la déesse). Le poète déshabille la déesse, on le voit avec la métaphore « je levais un à un les voiles «. A la strophe 6, « en haut de la route près du bois laurier«, le narrateur a réussis à attraper cette inconnue mais avec difficulté qui connoté par « «en haut de la route « néanmoins il est fier de son « gibier « car il se trouve « près d’un bois de laurier « qui symbolise la victoire.
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