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Comment Céline a travers son personnage parvient-il a dénoncer la guerre ?

Publié le 06/11/2017

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La guerre est un combat armé entre plusieurs groupes d'individus, cela est aussi un récit violent qui la plus part du temps s'inscrit dans l'Histoire. Louis Ferdiand Céline est un auteur français qui appartient a la génération extrêmement toucher et marquer par la première Guerre Mondiale, en 1932 il écrit son roman Voyage au bout de la nuit. Ce roman qui est écrit a la première personne transcrit un traumatisme causée par une grande guerre a travers le personnage de Ferdinand Baramu. Comment Céline a travers son personnage parvient-il a dénoncer la guerre ? Céline s'exprime a travers son héros puis il introduit un aspect dénonciateur de la guerre. Tout d'abord, Céline choisit un héros bloqués entre deux opinions celle de servir sa patrie et donc d'accomplir son devoir mais il trouve aussi cette guerre irraisonnables. D'une part, Céline écrit son récit a la première personne du singulier « je » ligne 4 et il utilise un point de vue interne a la première personne, les diff...

« D'autre part, il utilise la première personne du singulier et du pluriel « on » et « nous » ligne 1 et 6 ce qui nous montre un niveau de langue familier mais cela donne aussi l'impression d'une vérité générale ce qui est une manière d’élargir son point de vu non pas seulement que à la guerre mais a la vie en générale. Voilà pourquoi, l’utilisation du « on »ligne 6 et du « ça »ligne 1 et de phrases familières et de termes familiers comme « crétin » ligne 12 ou la phrase « tout le reste c'est des mots » ligne 14 confirment le réalisme, le témoignage ainsi que l'aspect orale. Puis, le temps dominant est l'imparfait comme a la ligne 5 par exemple avec le verbe « venais » ce qui permet a l'auteur de cité des événements passé mais aussi des actions qui continuent a persister au moment où il en parle, ce temps de l'imparfait nous renvoie a un aspect de témoignage. De plus, certaines phrases du récit son interrogative et exclamative ce qui renforce les marques d’oralités et qui donne un rythme au texte.

Pour, en résumée la premiers partie le personne qui est un héros et te moins nous présente son aventure de manière oralisés ce qui donne du réalisme a son temoignage. Deuxièmement, le héros dénonce insensée comme la vie en générale il exprime donc uns sorte de colère. Pour commencer, Ferdinand Bardamu utilises du vocabulaire militaires qui comprend des termes familiers comme par exemple a la ligne 8 « le colonel » qu'il qualifie de « mariole » ce qui nous montre l'irrespect du héros envers ces supérieurs. Ensuite, on nous présente la guerre comme banale et le personnage la compare a un jeux « la chasse a courre » ou encore « comme le tirage au sort » ligne 3-4, cela nous fait parraitre un personnage pessimiste. Pour enchaîner, Bardamu met en opposition la guerre et la prison car pour lui comme il dit a la ligne 14 « de la prison on en sort vivant, pas de la guerre » pour lui il. »

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