chapitre VII Thérèse Raquin de Zola (commentaire)

« 1) Le changement - Opp : §1 :« essuyant ses lèvres humides sur de cou de Laurent » -> passion, érotisme - Elle n’avait jamais exprimé ses sentiments : §4 :« je t’aime » - « mes nerfs se tendaient à se rompre , ma tête se vidait ,je voyais rouge» Hyperbole : éxageration des sentiments envers laurent. -« délices cruelles » oxymore, elle profite de ce que laurent lui donne. - Elle n’avait jamais été sincère avec personne, sauf avec Laurent.

Elle s’ouvre avec lui et lui racconte toute l’histoire avec Camille et qu’elle vraiment lui voyait comme un frère. - Pour Therese, c’est Laurent qui va la sauver de son malheur et elle pourra être heureuse. TRANSITION : cet changement, est certainement due à cause de la renaissance de la vraie thérèse à cause de Laurent 2) La renaissance de la vraie Thérèse - Description de Camille – « MAIS » (opposition)- description Laurent (sentiments) - « toi, toi… » -> répétition + suspense : pour faire emphase + piste au lecteur : il doit être attentif, ça va déclencher le drame. - Opposition avec le personnage de Camille: « frêle » « plaintif »  « mains épaisses » « larges épaules » « cou énorme » (malheur/ bonheur) - Therese exprime ses sentiments par la première fois : « je t’aime » /Opp.

à la vision qu’on avait de la personnalité de Therese. - Description sentiments intenses : Haine du début ; « j’aurais voulu te battre », « je te haïssais plutôt », « irritait », « souffrir », « rompre », « souffrance », « délices cruelles » Passion : « chaleur » « ardente » « frémissante » « fougueuses » « brutalité » « sinistre » OPPOSITION AVEC L’ENVIRONNEMENT (REPRESENTE SA RELATION AVEC LES RAQUIN) « chambre nue et glace » Dans cet extrait Zola nous montre le comportement de Thérèse à partir du déterminisme qui joue ici un rôle fondamental.

On peut bien contempler l’objectif de Zola lorsqu’il a écrit Thérèse Raquin , on observe comment un tempérament est modifié par son milieu, ce qui renforce la théorie de Zola «opérer sur les caractères, sur les passions, sur les faits humains et sociaux, comme le physiologiste sur les corps».

Le roman naturaliste n'étudie plus un homme abstrait, un homme métaphysique, mais l' homme naturel , soumis aux lois physico-chimiques et déterminé par les influences du milieu.

Il emprunte à la science sa méthode.. »