« Candide », Voltaire(1759)

« qualifient de « boue de nos grands chemins »).

Cependant, Candide éprouve une très grande convoitise à l'égard de ces matières premières.

Il va même jusqu'à en récolter pour l'exploiter et s'enrichir d'avantage. 2) Les hôtelleries sont des auberges de village.

Elles sont gratuites pour les étrangers car c'est l'état qui subvient à leurs besoins.

C'est donc une organisation étatique qui est en place où la monnaie n'est pas utile.

III-Idéal social 1) Tout au long du chapitre, on note la beauté des demeures des plus humbles, la richesse alimentaire, l'éducation accessible pour tous, les qualités d'hospitalité des modestes étrangers, l'altruisme de habitants ... qui ne sont pas habituelles dans le monde Européen.

On remarque aussi qu'il n'y a pas de délinquance donc pas de palais de justice ni de prison.

C'est un pays où règne un régime politique idéal qui gouverne un peuple heureux et respectueux.

Il n'y a pas de classes, de hiérarchie sociale dans l'Eldorado. 2) Dans ce pays, les hommes et les femmes sont placés à un même pied d'égalité.

Il n'y a pas de sexisme.( « On trouve vingt belles filles dans la garde du roi et de  grandes officières aux côtés de grands officiers.

»)   IV-Idéal religieux 1) Les habitants de l'Eldorado croient en un seul Dieu et n'ont qu'une religion.

Ils ne pratiquent pas le fanatisme religieux car il n'y a pas de prêtres ou lieu de culte, pas besoins de prières ou d'adoration.

Ils remercient simplement Dieu pour leur bonheur.   V-Idéal philosophique C'est un lieu idéal de vie où : La paix règne entre les citoyens libres et égaux. La gentillesse des gens est alliée à la générosité, à l'altruisme, à l'accueil... Les besoins fondamentaux de l'homme sont satisfaits par les ressources en matières premières du pays ou. »