Octavie LAPLENIE Lecture analytique initiation mondaine

« Dans le début de l'extrait le « portugais » semble se dépêche, il est pressé puisqu'il « s'empresse de gagner la porte ».

Mme de Beauséant lui répond par une phrase subjective sur le déroulement d'un événement le soir même et un regard appuyé.

Comme la réponse de celui-ci se fait tardé, elle enchaîne et lui pose une question ce qui nous donne l’impression que le marquis n’était pas au courant de cette sortie.

Lorsque que l’époux de Mme de Beauséant répond affirment qu'il ne le puis prend la poignet de porte ce qui appuie l’idée que celui-ci est hâtif.

Face a cette situation la cousine de Rastignac l'ignore complètement une gêne s'installe rapidement et le jeune étudiant ne sait pas ou trouver sa place.

Mme de Beauséant qui n'avait pas prévus une réponse comme celle-ci montre son désaccord en faisant ce geste inattendu (lève l'index de sa main droite) , et effréné elle désigne alors la place du marquis devant elle.

La vicomtesse par se simple geste elle s’impose, et fait preuve d'un véritable aplomb sans délaisse ses manière de femme bourgeoise (jolie mouvement).

Alors son mari va lâche le bouton de la porte et se mouvement aussi banal qu’il paraît est symbolique puisque qu’il fait preuve d'une obéissance vis-à-vis de sa femme. Après quelques instant où Eugène se questionne sur sa condition de vie, il va cogiter sur la sincérité de l'amour d'une femme dans cette capitale, il vient même a penser qu'il faut être avoir de l'argent et. »