Blaise Cendrars, poète contemporain (18871961), a écrit : «La publicité est la fleur de la vie contemporaine; elle est une affirmation d'optimisme et de gaieté; elle distrait l'oeil et l'esprit.[...] Oui, vraiment, la publicité est la plus belle expression de notre époque, la plus grande nouveauté du jour, un Art.» En vous appuyant sur des exemples et en songeant que la publicité peut faire appel à des mots autant qu'à des images, vous commenterez cette opinion et vous la discuterez si
Publié le 22/02/2012
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Comme les futuristes italiens, Blaise Cendrars aime le monde moderne. Le courant auquel il participe tranche avec l'attitude souvent passéiste et nostalgique des poètes.
Ce sujet peut être articulé sur une opposition entre la publicité et l'art qui montrera les points communs mais aussi les différences. Parmi les points communs, citons la volonté de produire un effet et le recours intensif aux connotations. Les deux domaines se distinguent surtout par la nature de l'effet produit. La publicité a pour but unique de provoquer un acte d'achat. Elle est tout entière orientée vers cet objectif.
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- Blaise Cendrars, poète contemporain (1887- 1961), a écrit : «La publicité est la fleur de la vie contemporaine; elle est une affirmation d'optimisme et de gaieté; elle distrait l'oeil et l'esprit. [...] Oui, vraiment, la publicité est la plus belle expression de notre époque, la plus grande nouveauté du jour, un Art.» En vous appuyant sur des exemples et en songeant que la publicité peut faire appel à des mots autant qu'à des images, vous commenterez cette opinion et vous la discuterez
- Blaise Cendrars, poète contemporain (1887-1961), a écrit : « La publicité est la fleur de la vie contemporaine ; elle est une affirmation d'optimisme et de gaieté ; elle distrait l'oeil et l'esprit. [...] Oui, vraiment, la publicité est la plus belle expression de notre époque, la plus grande nouveauté du jour, un art. » En vous appuyant sur des exemples et en songeant que la publicité peut faire appel à des mots autant qu'à des images, vous commenterez cette opinion et vous la discut
- Un critique contemporain, Marcel Raymond, analyse en ces termes « la tâche du poète » : « Alors qu'une civilisation industrielle rêve d'introduire dans l'esprit les lois rigoureuses qui règnent dans la physique, la tâche du poète sera d'ébranler l'homme, de lui faire perdre cœur, en présence de sa vie et de l'univers, et de le mettre en contact permanent avec l'irrationnel. » Cette analyse vous paraît-elle satisfaisante? Vous en examinerez la portée en vous appuyant sur des exemples,
- Dans son essai Croissance zéro, Alfred Sauvy écrit, à propos de la fascination qu'exerce sur l'homme l'idée du retour à la nature : « ... L'idée séduisante de retour à l'état naturel, à une vie végétale, ne dure guère qu'un été et d'une façon très relative. Virgile s'extasiait devant les gémissements des boeufs, mais avait des esclaves pour traire ses vaches. Rousseau fut fort aise de trouver une assistance publique pour élever ses enfants. Quant à Diogene, il devait bien produire quel
- Évoquant le romancier qui par son art soumet l'esprit et l'imagination de son lecteur, Marcel Proust écrivait : « Par lui nous sommes le véritable Protée qui revêt successivement toutes les formes de la vie. A les échanger ainsi les unes contre les autres, nous sentons que pour notre être, devenu si agile et si fort, elles ne sont qu'un jeu, un masque lamentable ou plaisant, mais qui n'a rien de bien réel. Notre infortune ou notre fortune cesse pour un instant de nous tyranniser, nous