Benjamin Constant, Adolphe : chapitre X de « C'était une de ces journée d'hiver… » à « j'allais à jamais cesser d'être aimé. »

Rappel du plan du début de l’explication déjà faite en classe (je ne redonne pas le détail de l’explication, juste le titre des parties et des sous parties : pour le détail, reportez-vous à votre cours).

Le passage relate la dernière promenade du couple et le début de l’agonie d’Ellénore.

I)                    La nature, miroir physique et moral

a)      Une nature morne et silencieuse

b)      La faiblesse d’Ellénore

c)       Le couple

On voit bien comment le couple formé par Adolphe et Eléonore va vers la désunion. Dans l’échange entre A et E, l’autre est à peine présent, d’ailleurs A n’est qu’un « appui « pour E. De son côté A ne prononce qu’une phrase, qui suggère l’arrêt, l’immobilité, à l’opposé du mouvement de la promenade : « Arrêtons-nous un instant «. Ellénore prie, activité qui suppose la solitude et l’isolement. Même traversé à deux, l’hiver de cette promenade envahit l’intériorité des personnages et les prive de toute communication.