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Bel-Ami, une peinture de la vie mondaine Parisienne

Publié le 10/09/2013

Extrait du document

 

Tout au long du roman le lecteur est plongé dans l’atmosphère si particulière qu’est celle de la vie mondaine

parisienne au XIXème siècle.

En effet, Georges dans son désir toujours grandissant de devenir riche et puissant est amené à cottoyer ce

milieu. Les mondanités parisiennes forment un cercle très fermé où chaque individu se connaît car il a été

introduit dans ce milieu par ses richesses, sa puissance politique, ou car il s’est illustré dans l’écriture d’une

oeuvre littéraire reconnue par tous. Ainsi ce cercle est réservé à des personnes illustres qui se considèrent

comme étant « au-dessus du commun des mortels «.

C’est grâce à ces rencontres que des gens peuvent tisser des liens avec d’autres et peut être obtenir un

« coup de pouce « qui pourrait les propulser dans une grande carrière. C’est d’ailleurs ce que Georges fait

dans toute l’oeuvre, sauf qu’il se serre des femmes afin de parvenir à ses propres fins. Les femmes savantes

ont également accès à

ce cercle privé mais également les femmes issues de classes nobles ou bourgeoise, elles sont traitées au

même égard que les hommes.

« Ainsi, ce cercle privé mène une existence paisible, en marge de la majeure partie de la société composée essentiellement de classes pauvres où le but de la vie est de vivre plus que survivre.

Ces pauvres gens ont l’habitude de mener dur labeur afin de se nourrir, eux et leur famille. On peut donc dire que cette sphère sociale mène une existence paisible et oisive, elle goûte aux plaisirs de la vie et laisse finalement la majorité des pauvres travailler à leur place.

Elle représente le déclin de la noblesse plusieurs siècles auparavant alors que leurs privilèges n’avaient pas encore été abolis sous la monarchie.

Cette vie mondaine parisienne est opposée à une vie rurale et monotone dépeinte dans Madame Bovary de Flauber. »

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