andromaque acte V-5
Publié le 28/10/2014
Extrait du document
«
IILa fin d'un héros tragique
aUn personnage maudit
Personnage en col
ère contre sa destin é Oreste d écrit l'acharnement dont il est victime. →
Champ lexical acharnement : « pers
évérance », « Appliqu é », « soin » + n égation « sans rel âche »
montre que Oreste victime des Dieux.
D
énonce sup ériorit é des dieux être pervers voire sadique qui se r éjouit du malheurs des hommes : →
Personnification « Ta haine a pris plaisir
à former ma mis ère » confirme l'id ée. ( col ère et haine des dieux
vers 16171618 )
Interjection « H
é bien » t émoigne col ère d'Oreste.
Un personnage ironique Oreste remercie le Ciel de fa
çon ironique avec antiphrases « Gr âce aux Dieux →
! », « je meurs content, et mon sort est rempli ».
Adverbe « oui » plac
é en d ébut de vers donne à la r éplique une tonalit é pol émique, Oreste indign é
invoque le Ciel : « Oui, je te loue,
ô Ciel ».
bLa folie d'Oreste
Racine propose repr
ésentation clinique de la folie sympt ôme et progression. →
Physique :
L'expression «
épaisse nuit » sugg ère aveuglement et perte de rep ère
Question « de quel c
ôté sortir ? » exprime sensation d'enfermement
Question sont des phrases courte mime confusions et trouble d'Oreste.
→
Manifestation physique
évoqu ées par frissons « d'o ù vient que je frissonne ? » « Quel horreur me saisit
» horreur en latin d
ésigne tremblement basculement dans la folie incontr ôlable = plus ma ître de son →
corps « me saisit ».
Hallucinatoire :
M
étaphore « des ruisseaux de sang » évoque sang de Pyrrhus qui est celui d'Hermione.
On passe
à la vision de Pyrrhus au vers 1926, introduite par l'interjection « Quoi ! » expriment la col ère.
Trois question imitant dialogue avec son rival mort « Je te rencontre encore ? » « comment t'estu sauv
é
». Oreste mime les coups donn
és à Pyrrhus : « Tiens, tiens, voil à le coup que je t'ai r éserv é ».
Les questions reprennent au vers 16331634 pour mimer d
élire d'Oreste « Mais que voisje ? A mes
yeux, Hermione l'embrasse ? (…) regards ?
Hallucination des
Érinyes d ésign ées par la p ériphrase « filles d'enfer ». Oreste croit apercevoir des
É
rinyes.
« Quels d
émons, quels serpents » insiste sur l'horreur de la vision.
Allit
ération en [s] « Mais qui sont ses serpents qui siffles sur vos t ête ? » accentue la menace.
Hallucination auditive. « Et je lui porte enfin mon cœur à dévorer » L'image du cœur d évorer clos la tirade. Phrase → marquante car acte barbares => manger un cœur humain. Conclusion : La fonction cathartique de la trag édie est parfaitement remplie par cet épilogue qui contient le r écit d’un meurtre, la description du corps sanglant, le r écit pr écis d’un suicide, la vision d’un personnage qui maudit les dieux et qui perd la raison.... »
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