analyse guehenno
Publié le 08/04/2017
Extrait du document


«
5.
En gros, l’auteur trouve un bon nombre d’arguments qui soutiennent ses idées.
D’abord, il
soulève qu’il y a tant de gens qui ne savent pas lire et qui ne réalisent pas la valeur de la
lecture.
C’est comme cela que toute son argumentation est justifiée : il y a un vrai besoin de
parler des attitudes envers la lecture.
Au fil du texte, l’auteur énumère les bons effets qui a le
livre sur le lecteur d’une manière pertinente.
Le vrai sens de la lecture est relevé par
l’émetteur.
On utilisant les pronoms « on » et « nous » l’impression d’une validité pour
l’ensemble du lectorat s’étale.
L’exemple concret dans la ligne 25 illustre bien ses arguments
et met en relief la valeur des livres.
6.
L’utilisation des pronoms chez Guéhenno se fait très posément.
Le début est marqué par la
3.P.Pl.
: les autres qui ne savent pas lire sont représentés.
Puis, l’émetteur emploie la 1.P.Pl ou
bien le « on » impersonel.
Avec cela, il souligne la validité de son argumentation pour le
lectorat en entier.
Au moment où l’auteur donne l’exemple concret de sa vie autrefois, les
pronoms de la 1.P.Sg.
sont utilisés.
Un changement remarquable se montre à la fin de l’essai.
Une utilisation du « vous » très dense devient manifeste.
En employant ce « vous »,
l’émetteur cherche à interpeller le lecteur en parler directement avec lui.
7.
En examinant les pronoms employés, l’adversaire apparait de manière assez évidente.
Selon
l’auteur, il y a ceux qui ne savent pas lire et qui méconnaissent la vraie valeur de la lecture.
L’auteur parle de ces gens-là avec une certaine distance.
Cet adversaire est présenté comme
s’il ne serait pas capable de réaliser qu’il se sert des livres de manière incorrecte et par
conséquent ne peut pas profiter de bons effets des livres.
A la fin du texte, cet adversaire est
interpellé de manière directe.
L’attitude dépréciative de l’auteur envers son adversaire se
montre en disant que l’horizon du lecteur – donc ce qu’il peut s’imaginer - est limité par
rapport à des mots dans des livres.
8.
La thèse rejetée est que lire sert à admirer et non pas à savoir.
La vrai lecture ne sert pas à se
distraire et donc n’est pas un outil pour éloigner l’ennui.
9.
La thèse soutenue serait qu’un livre peut avoir une force énorme sur le lecteur.
Lire, cela
possède une valeur qui va au-delà du simple contenu du livre ; la lecture permet d’évoluer,
de se libérer et d’admirer ce monde littéraire merveilleux.
10..
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