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Analyse demain de l'aube

Publié le 21/03/2022

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« Analyse “Demain, dès l’aube” Le même Victor Hugo, qui a écrit cet hymne à la vie, « Ce n’est rien de mourir, c’est affreux de ne pas vivre », dans ce texte se retrouve face à face avec la mort et sa tragédie. Le poème écrit par Victor Hugo « Demain, dès l’aube » en mémoire de la fille Léopoldine, disparue le 3 septembre 1843.

La figure de la fille est introduite dans le vers deuxième, « tu », et dans le poème est évoquée deux autres fois toujours en manière indirecte : « Toi » et « ta », (v.

4 et 11), qui créent l’illusion d’un dialogue. Donc, on peut bien remarquer que le texte a été écrit pour sa fille, qui est le destinataire. Victor Hugo est un auteur romantique, alors, on nous doit aspecter un poème plein de drame et des sentiments.

On peut nous demander si le poème est simple ou s’il a un parcours plus compliqué et si cela influent sur l’hommage à sa fille. Déjà dans le premier vers, l’auteur introduit un fond naturel, qui restera le même pour tout le poème.

En plus, « l’aube » faite partie d’une cicle qui termine dans la dernière strophe : la départi de Hugo commence quand le Soleil se lève et termine quand il arrive dans la tombe de sa fille, dans le noir de la soir, « soir qui tombe », (v.

9).

En effet la nature pour le Romantisme devient le vrai espace où l’homme vive.

Le mot « Demain », (v.

1), ouvre un autre parcours qui se déroule par le texte : le voyage est un chemin futur, « Je partirai », « Je marcherai » et « J’arrivai », (v.

2, 5 et 11), duquel on trouve l’origine de ce chemin dans le vers 4, « Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps », le seul verbe, avec « Je sais que tu m’attends », (v.

2), au présente.

Ce choix donne la possibilité de voir le voyage de l’auteur comme le dernier chemin après la mort mais, au même temps de voir dans ce chemin le parcours pour arriver à la femme aimée.

L’anaphore du verbe « J’irai », souligne la situation de Hugo après la mort de la fille : il pare qu’il marche sans destination, seulement à la fin on comprendre qu’elle est la tombe.

La deuxième strophe propose aussi une anaphore, « sans » vers 6, qui reprendre le sens de désorientation : Hugo se ferme en luimême, « Rien voir au dehors » et « aucun bruit ».

Dans cette strophe on trouve le seul mot qui se réfère aux sentiments du poète : « Triste », qui fait partie de l’énumération qui Hugo propose dans cette strophe, le seul mot qui centre parfaitement son cœur, tous ces mots font partie du champ lexical de la solitude et montrent le poète comme un héros tragique.

Les virgules utilisées sont une caractéristique de ce poème : elles donnent un rythme calme qui accompagne le chemin et qui montrent les pauses de réflexions pendant le voyage.

Cela nous montre que la ponctuation n’est pas régulière et imprévisible : une autre fois la confusion du poète est bien remarquable. Dans la dernière strophe l’auteur conclue le texte en terminant le cicle de la nature et en dévoilant le but de ce chemin.

La destination du poète est la tombe de sa fille, « Sur ta tombe », (v.

11), où il lassera « un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur », (v.

12).

Du point de vu de la vie de l’auteur, ici il révèle la mort de sa fille, anticipée au début de cette analyse, en donnant au chemin un sens de pèlerinage pour se purifier, pour puis porter les fleurs qui sont pure, et remettre en ordre ses pensées. En conclusion le poème « Demain, dès l’aube » montre le chemin intérieur et physique du poète jusqu’à la tombe de sa fille Léopoldine.

Il est composé de deux parties : une partie superficielle, qui nous fait penser à un texte simple e bien partagé, et l’autre qui est la partie plus profonde et spirituelle.

Ce deux se fondent pour créer un texte simple mais avec une grande valeur poétique.. »

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