ANALYSE DE TEXTE : Le lièvre et la tortue de Jean de La Fontaine et Tendre Bestiaire, Le Lièvre de Maurice Genevoix

« libres toute l'année.

Résistant au froid mais sensible à l'humidité, il aime établir son gîte, une simple dépression du sol, sur un terrain sain et filtrant.

Généralementgîté durant le jour, le lièvre retrouve ses congénères au crépuscule et la nuit sur des parcelles dégagées.

Il consomme de nombreuses plantes sauvages, mais aussicultivées comme les céréales en herbe, le trèfle, la luzerne, le colza ou la betterave.

Il se nourrit également de bourgeons, pousses et feuilles tendres, voire de l'écorce,d'arbustes ou d'arbres fruitiers, en particulier lorsque la neige recouvre le sol.L'espèce est présente dans tous les départements sans exception, depuis les bords de mer jusqu'à une altitude de 1 500 m.

Il est particulièrement abondant dans leNord-Pas de Calais, la Picardie, dans les grandes plaines calcaires de l'Ouest qui s'étendent de la Beauce aux Charentes, et plus localement en Alsace.

Les densités lesplus fortes sont relevées dans les plaines où alternent pâturages, céréales et autres cultures industrielles ou fourragères.

Les forêts de feuillus, homogènes ouparsemées de clairières, accueillent également le lièvre mais en densité moindre. Analyse fable de la Fontaine : Le Lièvre et la tortueLe texte de La Fontaine est une fable composée de 35 vers, avec mise en valeur de la moralité en début de texte et à la fin qui est marqué par un espace avec le récit.Les points et les virgules se trouvent en fin de vers, mais il y a aussi des points d'interrogations avant un dialogue ou poser une question, la majorité des interrogationssont dans la moral.Dans cette fable de Jean de La Fontaine, il présente le lièvre comme une personne impatiente et arrogante alors que la tortue elle est patiente, calme et intelligente.L'auteur blâme les personnes se reposant sur leur qualité en étant arrogante et fait des éloges aux personnes qui réfléchisse et modeste.La fable commence par la morale : « Rien ne sert de courir ; il faut partir à point », cela nous permet de mieux aborder la fable.

La fable parle de deux animaux leLièvre et la Tortue qui témoigne de la morale.La tortue lance le pari au lièvre : « gageons que vous,'atteindrez point sitôt que moi ce but.Le lièvre surpris rétorque : « êtes-vous sage ? Il le dit sur un ton ironique ne pouvant croire ce qu'il entend.

Ma « Commère » est péjorative et lui dit de se purger enpensant qu'elle est folle.La tortue rétorqua : sage ou non, je parie encore.Notre lièvre : intervention de l'auteur pour une familiarisation avec son lecteur.

J'entends : La Fontaine explique ce qu'il veut dire avec cette phrase « 4 pas à faire »pour distancer les chiens donc il reste pour dormir, brouter.

.

.Il laisse la tortue « aller a son train de sénateur » façon d'exprimer sa lenteur, elle fait des efforts pour aller plus vite : elle s'évertue, se hâte avec lenteur.Le lièvre sur de gagner « méprise une telle victoire » car son adversaire n'est pas à sa hauteur donc pour sont honneur il part pus tard mais se rend compte trop tardque la tortue est sur le point d'arriver au but.

Il partit d'un trait mais les efforts qu'il fit furent inutiles car la tortue arriva la première.Réaction de la tortue après sa victoire : « Eh bien ! lui cria-t-elle, avais-je pas raison ?De quoi vous sert votre vitesse ?Moi l'emporter ! Et que serait-ce,Si vous portiez une maison ? »L'auteur veut nous faire comprendre que sa ne sert à rien d'avoir une qualité supérieur à un autre si on ne sait pas l'utiliser. MAURICE GENEVOIX : LE LIEVRECe Texte de GENEVOIX est une nouvelle.

Dans la première partie il décrit le lièvre et les personnages, il semble également s'opposer en partie à certains propos deLA FONTAINE car lui pense que le lièvre est triste et oppressé alors que GENEVOIX pense qu'il est heureux et bon à vivre.

Dans la deuxième partie la plus longueil nous récite sa nouvelle et la troisième est une alternance de récit et de dialogue entre les personnages.GENEVOIX a été marqué par la guerre il en gardes des souvenirs ineffaçables tels que le sifflement des obus, les balles qui sifflaient… Mais cela ne l'empêchait pasde voir ou entendre les lièvres.La ponctuation telle que les points d'exclamation ou les points d'interrogation est surtout présente dans les dialogues.

Les points de suspension, virgule ou points sontprésents dans toute la nouvelle.Le champ lexical dominant tout au long du récit est celui du lièvre, par exemple lièvre, lieuve, gite, ardent à vivre, gourmand à table, folâtre au jeu.Le vocabulaire qui tourne autour du lièvre est mélioratif.Le registre de langue est principalement courant et de temps en temps familier.Pour la description générale au début de la nouvelle et dans le récit l'auteur parle à la troisième personne du singulier et quand il décrit l'auteur les personnages.

Ontrouve également la première personne du singulier dans les dialogues.Pour la description l'auteur utilise l'imparfait, pour les dialogues le présent et pour le récit le passé simple.

Il plaint le lièvre car il est cuisiné dans tous les plats,recherché par tous les chasseurs et les renards.Il y a cinq personnages Monsieur de Mauboire un chasseur riche et noble, le lièvre animal chassé lors du récit, Antoine Chiquet un chasseur simple paysan, Clairautle chien de chasse de Monsieur de Mauboire et le renard.Deux chasseurs de lièvre Monsieur de Mauboire un riche noble chassant pour son simple plaisir et Antoine Chiquet un simple paysan chassant surtout pour senourrir chassent tous les deux sur des terres voisines.

Au début de l'histoire lors d'un jour d'ouverture de chasse c'est M.

de Mauboire qui chasse sur ses terres, il valouper le lièvre à plusieurs reprises et celui-ci ira se réfugier un peu plus loin sur les terres d'Antoine Chiquet.

C'est ensuite lui qui va le chasser et le louper à sontour.

Pour finir à la fin de la journée lorsque le second chasseur est épuisé c'est le renard qui va tenter d'attraper le lièvre, il réussira finalement à l'avoir au bout de 2essais avant de s'enfuir sous les yeux du chasseur.. »