Analyse chapitre 16 ,24 et 25 le Rouge et le Noir de Stendhal

« Récapitulatif : Par rapport a la notion, on a dégager les valeurs que le personnages incarne soit la jeunesse , l’énergie, exaltation, indépendance d'esprit , le goût pour la liberté, le désir de l’élévation, le goût pour le rêve et l’imagination, l'ambition , rêverie d'amour,le goût pour l'introspection avec sincérité et l’écriture qui lui permet de se rencontrer lui-même. Ce passage est un esthétique romantique(goût pour la solitude, paysage sublime, héro sublime) et une caractérisation réaliste de Julien en Ambitieux.

Le narrateur se positionne par rapport a julien en étant heureux avec julien mais il nous rappelle aussi la naïveté de son héro et nous préviens qu'il va avoir des désillusions.

Stendhal est à la fois proche de son personnage qu'il aime et qu'on doit aimer et en mêle temps il se moque de lui en disant jeune parisien et jeune paysan. Chapitre 24 Le titre du chapitre « une capitale » cela annonce ses objectifs.

On est passé d'une petite ville à une capitale mais une capitale ce n'est pas une capitale, l'auteur nous reviens.

Avec la fille du café, Julien est timide, il a besoin d'un courage disproportionné, on retrouve notre héro pour la première fois timide : »timidité passionne que l'on retrouve en province.

Julien inspire de la pitié et est comparé à un parisien qui en sait deux fois plus que lui.Il ne souffre pas de cette timidité, il est bien avec la jeune fille de l'auberge. Chapitre 25 3ème paragraphe Le titre est sobre « le séminaire ».

Stendhal veut faire la peinture d'un milieu particulier, une description réaliste.

On va se rendre compte qu'il critique les religieux, les institutions et les élèves.

La seule figure qui trouve grâce à ses yeux est l'Abbé Pirrard.

Au début du chapitre, l'abbé Pirrard crée un effet de terreur entre lui et le lecteur.

Le roman devient captivant comme un roman d'aventure. Ce qui va augmenter sa faiblesse physique c'est de rencontrer un portier qui fait penser à l'entrée des enfer.

La caractérisation du lieu est tout a fait négative. Début : Phrase 1:on est dans une description réaliste et subjective car on voit tout comme le vit Julien.

On vit les chose comme les vit Julien c'est du réalisme subjectif.

C'est un lieu qui n'est pas du tout accueillant.

Certaine personne compare ce passage avec un roman gothique.

Stendhal chercher a faier peur, le séminaire est un endroit où on torture.

Phrase3 : On a des tournures négatives avec des matériaux pauvres. Phrase 4 : Cet homme est assis dans une soutane, qui à l'air en colère et travail sans faire attention à Julien et dénonce l'aspect inhospitalier du lieu.

On vit la temporalité à la vitesse de Julien, on voit tout comme Julien.

Julien est figé dans l'immobilité. « 10 min se passèrent » on ressent le temps. L’émotion et la terreur vont augmenter chez Julien et il est sur le point de tomber. Paragraphe « L'Homme qui écrivait » : Toute la scène est angoissant, figée, bloquée : « frappée à mort ».

On est dans un scène hyper angoissante. Il y a une description de Julien réaliste.

Le roman est captivant.. »