Acte IV, scène 6 - Beaumarchais le mariage de figaro (commentaire)
Publié le 07/10/2018
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Il prétend aussi qu’il pourrait y avoir même deux douzaines personnes qui auraient sauté sur les giroflées d’Antonio. Il affirme qu’il n’y a pas d’importance sur le fait qu’il y ait un
homme ou alors deux douzaines qui sautent. Tandis que le Comte veut savoir si Chérubin se trouvait dans la chambre de sa femme et qu’Antonio souhaiter connaitre qui avait écrasé ses plantes, Figaro insinue que s’il n’y a pas de blessé, alors cela ne fera rien. Figaro est ainsi un personnage comique, jouant le rôle d’un naïf dans cette scène. Peut être alors ça devrait être lui le « fat ». Une réplique est aussi réplique par son paradoxe. Le comte interroge à la fin « Jouons nous une comédie ? ». Bien sûr, c’est le cas. Toutefois personne n’y répond, si ce n’est un signal musical. Le fait est que les personnages jouent la comédie dans une comédie. On pourrait dire que cette phrase résume la scène et toutes les autres scènes de la pièce.
Cette scène et en particulier une réplique présente dans la scène, a une grande place dans l’œuvre, puisqu’elle la résume particulièrement dans toute sa totalité. Il y aurait un jeu de comédie dans la comédie de la pièce. En effet, Figaro, personnage extravagant, énonce des principes farfelus et presque irréalistes. Il fait référence à une célèbre œuvre de Dindenault, avec ses « moutons de Panurge » qui est devenue aujourd’hui une expression. Ainsi, Beaumarchais, par cette scène courte et rapide, fait découvrir encore une fois l’art de l’esquive, la victoire de Figaro et le caractère comique du Mariage de Figaro.
«
s’adressant parfois à d’autres personnes, et faisant l’ignorant.
Il invente une histoire où Chérubin « galopait ou marchais ou
pas » loin du château alors qu’elle sera reformée par Chérubin, qu’il ne contredira pas.
Il prend des airs d’homme rêveur et
étonné et fait mine que tout est probable.
Il justifie son saut par « la rage de sauter », et le compare aux fameux moutons de
Panurge.
Il prétend aussi qu’il pourrait y avoir même deux douzaines personnes qui auraient sauté sur les giroflées d’Antonio.
Il
affirme qu’il n’y a pas d’importance sur le fait qu’il y ait un
homme ou alors deux douzaines qui sautent.
Tandis que le Comte veut savoir si Chérubin se trouvait dans la chambre de sa
femme et qu’Antonio souhaiter connaitre qui avait écrasé ses plantes, Figaro insinue que s’il n’y a pas de blessé, alors cela ne
fera rien.
Figaro est ainsi un personnage comique, jouant le rôle d’un naïf dans cette scène.
Peut être alors ça devrait être lui le
« fat ».
Une réplique est aussi réplique par son paradoxe.
Le comte interroge à la fin « Jouons nous une comédie ? ».
Bien sûr,
c’est le cas.
Toutefois personne n’y répond, si ce n’est un signal musical.
Le fait est que les personnages jouent la comédie
dans une comédie.
On pourrait dire que cette phrase résume la scène et toutes les autres scènes de la pièce.
Cette scène et en particulier une réplique présente dans la scène, a une grande place dans l’œuvre, puisqu’elle la résume
particulièrement dans toute sa totalité.
Il y aurait un jeu de comédie dans la comédie de la pièce.
En effet, Figaro, personnage
extravagant, énonce des principes farfelus et presque irréalistes.
Il fait référence à une célèbre œuvre de Dindenault, avec ses
« moutons de Panurge » qui est devenue aujourd’hui une expression.
Ainsi, Beaumarchais, par cette scène courte et rapide, fait
découvrir encore une fois l’art de l’esquive e la victoire de Figaro et le caractère comique du Mariage de Figaro..
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