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« 1ere partie : Daudet parle de l’Histoire dans ses contes. A) Qu’est-ce que l’histoire ? C’est une perspective, une mise a distance méthodique.

Dans l’histoire nous y trouvons une enquête, un résultat et un écrit.

Le problème est de trouver la bonne distance.

Pour trouver cette bonne distance, il suffit d’écrire.

Lorsque nous écrivons un jour sur un sujet, puis deux jours plus tard sur se même sujet, nous ne dirons pas la même chose.

Il y’aura l’effet du recul.

Donc d’un côté, le fait d’écrire au vif est d’avoir tous les détails possibles alors que d’écrire avec certains jours, certains mois ou même certaines années de distance, nous n’aurons que les détails les plus importants qui auront été sélectionnés.

Daudet va donc écrire ses textes en 3 années, pendant la guerre franco-prussienne qui se passe en 1870-1871 puis après avec ses souvenirs.

Sa façon de parler des évènements nous montrerons que pendant sa jeunesse, il lisait du romantisme comme les jeunes de cette époque.

Se romantisme ressortira malgré son réalisme.

Par exemple son dernier conte « les fées de France », qui est un conte fantastique, touchera sa sensibilité.

(Rappel du texte : une clocharde est arrêtée pour avoir mis le feu a des bâtiments.

Lorsqu’on lui demande comment elle s’appelle, elle répond la fée et dit qu’elle est la dernière à être en vie, elle raconte pourquoi elle a brulé paris) Daudet pleure à sa façon le monde d’avant, comme la fée qui pleure le changement donc préfère tout bruler, brulé la modernité en quelque sorte pour garder le passé.

Mais c’est un passé qui ne reviendra pas.

Daudet a vécu en étant jeune a la campagne, dans un grand espace mais a dut déménager.

Cela lui a fait un choque car il est passé d’un endroit de rêve pour un enfant de son âge a une ville ou il n’y a pas de place, du bruit.

Il est devenu un être de fuite mais s’en est servi à bon escient en écrivant. Ce texte ramène donc à son enfance, comme ses autres textes d’ailleurs. Par exemple, ces évènements du passé peuvent être comparé a des événements du présent : l’abandon du projet de l’aéroport des dames des landes.

Les personnes qui défendent leurs zones sont comme la fée de France, ils perdent se qu’ils aiment dans la technologie.. »