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Fiche de lecture sur le chapitre 11: The Greek of the New Testament, par Mark Janse, sur la section IV de l’ouvrage, intitulé: Ancient Greek: structure and change, pages 646-653.

Publié le 31/03/2022

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« # LG33AM30 européennes # Rapports entre le grec et les autres langues - Vitoria Carolina MORAIS BRAZIL - Nº étudiant: 21917363 - L1 Sciences du langage FICHE DE LECTURE I.

Les références obligatoires: 1.

Ouvrage: - Édité par: Anastassios-Fivos CHRISTIDIS, Maria ARAPOPOULOU, Maria CHRITI pour Centre for the Greek Language - Année: 2007 - A history of ancient Greek: from beginnings to late antiquity - Cambridge, Royaume-Uni - Cambridge University Press II.

Sur le chapitre: - Chapitre 11: The Greek of the New Testament, par Mark Janse, sur la section IV de l’ouvrage, intitulé: Ancient Greek: structure and change , pages 646-653. II.I.

Structuration du chapitre: 1.

Introduction: Présentation du scénario linguistique et historique dans lequel le Nouveau Testament a été écrit et les différents courants de pensée qui défendaient: soit une influence sémitique assez forte pour configurer un dialecte nommé ici comme « judéo-grec » (ENG.: Jewish Greek); soit le grec koinè comme seule langue utilisée dans la rédaction du Nouveau Testament.

En outre, le consensus sur l’existence du koinè Syro-Palestinien. 2.

Koine characteristics of New Testament Greek: Références au koinè Syro-Palestinien sur les critères morphologique, syntaxique et lexicale dans le Nouveau Testament grec. 3.

Semitisms in the New Testament: Évidences morphologiques, syntaxiques, lexicales et sémantiques qui relèvent la présence hébraïque/araméenne sur les textes du Nouveau Testament grec. III.

Thèmes traités: Des passages bibliques décrivent la coexistence de trois langues lorsque Jésus de Nazareth a été crucifié: le hébreu, le grec et le latin (Jean 19.20).

Néanmoins, il y a des indications que c’était en effet l’araméen qui était référencié dans ces extraits.

Le latin était couramment associé aux oppresseurs étrangers et se limitait aux affaires administratifs et gouvernementaux.

Malgré la domination romaine à l’Est, le grec devient lingua franca et s’intègre comme deuxième langue des juifs palestiniens qui y habitent.

À l’ouest, il y a plutôt une plus forte association entre le latin et l’hébreu. Aux siècles XVII et XVIII les « Hébraïstes » argumentent sur l’existence d’un dialecte « judéo-grec » qui porte non seulement des caractéristiques linguistiques des langues juives, mais son façon de penser et. »

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