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EL YAGUARETÉ

Publié le 16/09/2014

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EL YAGUARETÉ

El yaguareté habia apoyado la cabeza sobre las paralelas de las patas delanteras, como durmiendo despierto, mientras meneaba la cola con movimientos de serpiente, Y el tape (r) se le fue acercando luego que sus ayudantes consiguieron acallar a los canes. Hombre y fiera se miraron e coma jugando a un serio «, valga la expresi6n infantii, y ninguno de las dos se decidia, puesto que el espacio de tres rnetros largos que los separaba, mas que tierra de nadie era tierra de la Muerte.

Habia que matarlo sin echar a perder el cuero valioso, « sin ojalarlo al fiudo «, depreciando su valor, hiriéndolo de la gar-ganta a la barriga, por donde tendrian que abrirlo cuandolo cuerearan. El hombre se acerc6 nias, flanqueado medio de atras por sus segundos. Era cosa salvaje, terrible, y soiamente sudamericaria esa desafiante actitud del hombre cobrizo y pequefio ; el chiripà (2) cortito y cenido ; la chaqueta ajustada y la vincha (3) de colores conteniendo las clines, coma un arco iris dominando la tormenta. Desa.fiante y hermosa era su actitud, con el brazo bien tapado par el poncho ordinario y desgarrado, a la altura de la cara, para arnortiguar el peligro que iba a caer desde arriba. Con el caronero (4) agudisimo empufiado con soltura, elegante a fuerza de estilo, y la muficca ligada por un cuerito, mientras en el pecho desnudo se le asornaba, indiscret°, el « payé « (5), colgado de una cintita « azul y sin pecar «, compuesto con una perdizada plumita de caburé (6).

El tigre dia « el salto mortal «, y qued6 en el aire abrazado del largo fac6n, Casi le saca el brazo al matador en el esfuerzo que éste hizo por no soltar el arma, que hundida en el pecho del bruto cay6 con él hasta el suelo en inverosimil parabola de colores amarillo y negro. Un amarillo y negro que iban creando el rojo.

« COMENTARIO 1 ( Por qué ese espacio era « tierra de la Muerte » ? 2 Comente la expresi6n « solamente sudarnericana ».

3 ,.

C6mo el autor presenta al indio cazador de tigres americanos ? 4 ,.

~'VT o trasciende del relata cierta poesia propia de semejantes lances } EJERCICIO GRAMATICAL Ce garçon peut avoir dix-huit ans; dans deux ans il sera majeur.

J'ai senti une odeur de gaz, peut-ttre y a-t-il une fuite dans les canalisations.

ous devez être fatigué ct•avoir parcouru tant de kilomètres.

Se peut-il qu'il y ait encore des ronces fleuries et des coquelicots dans les champs ? Je n'ai pas de montre, mais il doit être quatre heures du matin.

Il pouvait être neuf heures quand il frappa à la porte de la maison.

Il avait dû oublier son parapluie, c'est pour cela qu'il rentra trempé jusqu'aux os.

Imagine-toi le chagrin que put lui causer l'annonce d'une cata­ strophe si terrible.

TEMA La pieuvre.

- Quelque chose qui était inince, âpre, plat, glacé, gluant et vivant, venait de se tordre dans l'ombre autour de son bras nu.

Cela lui montait vers la poitrine.

C'était la pression d'une courroie et la poussée d'une vrille.

En moins d'une seconde, on ne sait quelle spirale lui avait envahi le poignet et le coude et touchait l'épaule.

La pointe fouillait sous son aisselle.

Une deuxième lanière, étroite et aigüe, sortit de la crevasse du roc.

C'était comme une langue hors d'une gueule.

Elle lécha épouvantablement le torse nu de Gilliatt, et tout à coup s'allon­ geant, démesurée et fine, elle s'appliqua sur sa peau et lui entoura le corps.

En même temps, une souffrance inouïe, comparable à rien, soulevait les muscles crispés de Gilliatt.

Il sentait dans sa peau des enfoncements ronds, horribles.

Il lui semblait que d'innom­ brables lèvres, collées à sa chair, cherchaient à lui boire le sang.

Impossible de couper ni d'arracher ces courroies visqueuses qui adhéraient étroitement au corps de Gilliatt et par quantités de points.

V.

HuGo Les Travailleurs de la Mer 241 -. »

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