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EL MATADERO

Publié le 16/09/2014

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EL MATADERO

En tiempos de escasez de carne en Buenos Aires, ha logrado llegar a la ciudad un pequeiio rebaiio, cuya carne hay que repartir para saciar el hambre...

La perspectiva del matadero a la distancia era grotesca, liena de animaciôn. Cuarenta y nuevc reses estaban tendidas sobre sus cueros, y cerca de doscientas personas hollaban aquel suelo de lodo regado con la sangre de sus arterias. En torno de cada res resaltaba un grupo de figuras humanas de tez y raza distinta. La figura mas prominente de cada grupo era el car-nicero con el cuchillo en mano, brazo y pecho desnudos, cabello largo y revuelto, camisa y chiripà (s) y rostro embadurnado de sangre. A sus espaldas se rebullian, caracoleando y siguiendo los movimientos, una comparsa de muchachos, de negras y mulatas achuradoras, (z), cuya fcaldad trasuntaba las arpias de la fabula, y entremezclados con chias algunos enormes mastincs, olfateaban, grufnan o se daban de tarascones por la presa. Cuarenta y tantas carretas, tolda.das con negruzco y pelado cuero, se escalonaban irregularmente a la largo de la playa, y algunos jinetes con el 

« COMENTARIO 1 Sabiendo en qué condiciones se desarrolla la escena, i qué senti­ mientos animan a aquella muchedumbre ? 2 ( En qué se jiya el nm,,elista : en el hambre que hay que saciar o en el salvajismo y bestialidad de aquella gente? (No se encuentran juntos aqui todos los pormenores que pueden entrar en la composici6n de un cuadro de tonos muy marcados ? 3 ,.

Qué motiva que varie «la perspectiva » ? ,· C6mo en el cuadro animado del segundo apartado se nota el desprecio que el autor siente par aquella (( chusma " ? EJERCICIO GRAMATICAL Qu'il plaise à Votre 11:ajesté d'accepter mon respectueux hommage! Les enfants sont généralement conquis par les promesses qu'on leur fait, mais on ne doit pas les décevoir.

Sur la pierre tombale on pouvait lire «Ci-gît un homme qui s'efforça de ne pas juger ses semblables.

Nous nous plaisons beaucoup à la montagne quand arrivent les premiers jours de l'automne.

Il tonnait sans répit et les éclairs lançaient de violentes lueurs dans la nuit noire.

En Galice il bruine presque toujours et les rues dallées de Saint­ J acques-de-Compost~lle ne sèchent jamais; Il s'en est fallu de peu que l'automobile, au tournant de la route, ne roule dans le ravin.

L'année dernière il gela à pierre fendre et le fleuve charria de gros glaçons.

TEMA L'indien du Pérou.

- La structure orographique du Pérou - l'alternance des hauts sommets et des vallées profondes et ces îlots de végétation qui, soudain, surgissaient au sein de plaines arides - donnait à la géographie humaine l'aspect d'un archipel de populations, que d'énormes distances sépa­ raient.

L'îlot humain le plus important se trouvait dans les vallées chaudes où étaient rassemblées toutes les plantes néces­ saires à l'alimentation du pays et à ses industries.

Là, le travail était relativement facile et !'Indien pouvait y être considéré comme relativement heureux.

Mais on le rencontrait aussi sur la côte - où l'eau manquait - dans la forêt - où il y avait trop d'eau, - sur les sommets - où la fonte des glaces effaçait d'un coup les travaux d'une saison.

Cette pression constante du milieu sur l'Indien l'avait profondément marqué.

Jean DESCOLA La Vie quotidienne au Pérou au Temps des Espagnols, r7ro-r820 - 229-. »

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