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CON LOS DELFINES (traduction espagnol -> français)

Publié le 25/01/2012

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María Eugenia :

 

 Creo que comprenderás por qué no inicio esta carta con "querida mamá", como cuando lo hacía desde la lejanía de mis antiguas vacaciones. A esta altura, vos y yo sabemos (vos lo supiste siempre; yo, tan sólo hace tres años) que no sos mi mamá, como tampoco Pedro Luis es mi padre. Ahora que él murió, me da un poco de pena saber que has quedado irremediablemente sola. Pero mucha más pena me dan mis padres verdaderos. Sé de buena fuente, como vos, que desde un avión los arrojaron al mar y que los arrojaron vivos. Ahora es casi imposible que alguien pueda demostrar que sí o que no, pero yo me inclino a creer que sí, ya que la comprobada saña de los amigos de Pedro Luis, aunque todavía nos desconcierte y nos repugne, fue algo real.

Durante el primer año de mi llegada a la casa de mis abuelos, todavía a veces soñaba contigo y con él, y no podía evitar un último estremecimiento de cariño.

Mis abuelos me quieren, me miman, me hablan de mis padres, tratan de crear en mí un nuevo estímulo para vivir, pero a mis 18 años actuales debo confesar que mi vida está rota y hay en mis noches otra fantasía recurrente, en la que me arrojo yo también al mar. Por qué? Para qué? Pues para juntarme con mis padres. En el sueño ellos me reciben, muy juntos, con los brazos abiertos, rodeados por delfines solidarios que también se incorporan al festejo. Y cuando por fin me despierto aún permanece en mí la sensación de ternura más nítida de toda mi existencia.

Tengo en mi mesa de noche la foto de mis padres y sé que vengo de ellos y de nadie más. Las zalamerías de Pedro Luis siempre me sonaron a hipocresía y mi memoria no las olvida pero las rechaza. Creo en cambio que tus señales de cariño eran sinceras y las conservo como algo positivo en medio de una situación tramposa. Quizá algún día junte fuerzas para volver a verte, pero por ahora no. Todavía estoy llena de rencores y rencorcitos.

« Durant la première année de mon arrivée à la maison de mes grands-parents, parfois encore je rêvais de toi et lui, et je ne pouvais pas éviter un dernier frisson de l'amour.

Mes grands -pères m'aiment, me gâtent, me parlent de mes parents, essaient de créer dans moi une nouvelle stimulation pour vivre, mais à mes 18 actuelles années je dois confesser que ma vie est cassée et il y a dans mes nuits une autre imagination, l'appelante, dans qui je me jette aussi su r la mer.

Pourquoi ? Pourquoi ? Puisque(donc) pour me joindre avec mes parents.

Dans le sommeil(rêve) ils me reçoivent, très ensemble, avec les bras ouverts, entourés(contournés) par des dauphins solidaires qui s'incorporent aussi au bon accueil.

Et quand enfin je m'éveille toujours(encore), elle reste dans moi, la sensation la plus nette de tendresse de toute mon existence.

J'ai sur ma table de nuit la photo de mes parents et sais que je viens d'eux et de personne plus.

Les cajoleries de Pierre Luis j'ont toujours sonné à une hypocrisie et ma mémoire il(elle) ne les oublie pas mais il(elle) les repousse.

Je crois en revanche(contrepartie) que tes signaux(marques) d'affection étaient sincères et les conserve comme quelque chose de positif au milieu d'une situation tricheuse.

Peut -être un jour joint des forces pour recommencer à te voir, mais pour l'instant non.

Je suis encore pleine des rancunes et rencorcitos.

Finalement, après réflexion Paulina décida de voir sa mère adoptive quelque mois après avoir écri t sa lettre, afin de s’expliquer avec Maria.

Elle lui donna donc rendez - vous un restaurant… - Bonsoir… - Bonsoir Paulina, j’espère que … (Paulina lui interrompu la parole) - Je suis venue pour te demander pourquoi ? Pourquoi m’avoir fait subir tout Ça ? Pourquoi tant de méchanceté envers tous ces gens? Comment as -tu pu cautionner tout ce mal autour de toi et tous ces mensonges ? (Dit -elle sur d’un ton sévère) - Tu as tout à fait raison mais … - Ne me dis pas que j’ai raison car je le sais.

Je vous en veux, si tu savais.

A vrai dire je lui en veux plus qu’à toi et ça me rend malade/folle de rêver de lui encore à l’heure d’aujourd’hui.

Et même si je t’en veux moins qu’à lui je ne comprends quand même pas ta réaction dans toute cette histoire.

Toi, me regardan t tous les jours vous appelez « Papa, Maman » alors que tout Ça n’était que pur mensonge ! - Paulina tu n’as pas le droit de dire Ça et tu n’étais pas à ma place ! (Elle se mit à pleurer) Essaie 30 second es de te mettre à ma place si tu y arrives ! Aimer un homme et le détester à la fois ! Malgré toute la haine que tu puisses avoir en toi et malgré tout ce qu’il a pu faire de mauvais dans sa vie il a toujours rempli pleinement son rôle de père et t’a toujours traité et considéré en tant que sa fille légit ime.

Je ne suis pas en train de défendre ses actes mais j’apprécierai que tu te montres plus de gratitude envers l’éducation que tu as reçu .. »

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