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CON LOS COMPANEROS DE CORTÉS

Publié le 16/09/2014

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CON LOS COMPAeEROS

DE CORTÉS

— E ya que llegamos obra de media legua del pueblo, bien oimos el rumor de cortar de maclera, de que hacian (los indics) grandes mamparos e fuerzas, y aderezarse para nos dar guerra, porque habian sahido de le que pas6 en Potonchan y tenian la guerra per muy cierta. Y desque aquello sentimos, desembarca-mes de una punta de aquella tierra donde habia unes palmares, que era del pueblo media legua ; y desque nos vieron alli, vinieron obra de cincuentas canoas con gente de guerra, y traian arcos y flechas y armas de algod6n, roclelas y lanzas y sus atambores y penachos, y estaban entre los esteros otras muchas canoas llenas de guerreros, y estuvieron aigu apartados de nosotros, que no osaron llegar corne los primeros. Y desque los virnos de aquel arte, estabamos para tirarles con los tiros y con las escopetas y ballestas, y quiso nuestro Seflor que acordamos de los Hamar, e cbn Julianico y Melchorejo, que sabian muy bien aquella lengua ; y dijo a los principales que no hubiesen miedo, que les queriamos hablar cosas que desque las entendiesen, hubiesen per buena nuestra llegada alli e a sus casas, e que les querfamos dar de lo que traiamos. E coma entendieron la platica, vinieron obra de cuatro canoas, y en chas hasta treinta indios, y luego se les mostraron sartalejos de cuentas verdes y espejuelos y diamantes azules (s), y desque los vieron parecia que estaban de mejor semblante, creyendo que eran chalchihuites (2), que elles tienen en moche. Entonces el capitan les dijo con las lenguas Julianillo o Melchorejo, que veniamos de lejas tierras y éramos vasallos de un grande etnperador que se dite don Carlos, el cual tiene por vasallos a muchos grandes set-tores y calachionies (3), y que ellos le deben tener per setier y les ira muy bien en ello, e que a trueco de aquellas cuentas nos den comida de gallinas.

B. Diaz DEL CASTILLO

La Conquista de Nueva Espana

« 4 c· Qué puede en el dù.curso de !< las lenguas 11 convencer a los indios de que los espai1oles no llegan a ,1Jéjtro para destruirlos ? ri Sabe usted cud{es fueron los principales acontecitnientos de la Conquista de 1'v!éjico y cônw obr6 en ella el Conqui5/ador Herndn Cortés? EJERCICIO GRAMATICAL Moins il se trouve d'hommes agglomérés sur un point, moins il s'y rencontre de crimes.

Plus il hésitait, plus la marchande insistait.

Plus je voyais de monde et de mouvement dans cette prodigieuse ville de Paris, plus j'y trouvais de silence et de solitude pour moi.

Plus elles auront tardé, moins elles se décideront à me faire cette joie.

C'est ainsi qu'une foule de peuples, se croient d'autant plus sincè­ rement sur le chemin de la vérité qu'il ne leur est même jamais venu en pensée le moindre doute.

Dans la scène avec Dubois, plus Alceste a de sujet de s'impatienter plus il doit rester flegmatique et froid, parce que l'étourderie du valet n'est pas un vice.

TEMA Avec les Conquistadores.

- Dans ces terres vierges, où ils ne rencontrèrent que des indigènes somnolents, ceux des conquis­ tadores qui avaient le goût ou le loisir de la contemplation pressentirent qu'ils entraient en contact avec un passé encore récent, mais colossal.

C'étaient déjà des villes désolées, assié­ gées par les cactus, des demeures empanachées de palmiers, désarticulées par des racines gonflées comme des boas, qu'ils frôlaient à leur passage dans la forêt vierge.

Et ceux qui se hasardèrent, hors du sentier frayé, vers les constructions gigantesques qu'ils avaient entrevues, demeu­ rèrent frappés de stupeur.

Blocs de maçonnerie juchés au sommet des collines, dominant des paysages sans limites, la nudité ùe ces soubassements écrasés par d'énormes frises, la roideur trapue des colonnes obtuses, l'inflexibilité des bandes d'ombre dense, qui faisaient saillir les modulations de l'orne­ ment, les portes rectangulaires, dont les linteaux et les jambages unis encadraient une ténèbre compacte, tout cela était fait pour inspirer un effroi que traduisait trop bien le commentaire des Indiens apeurés, qui ne parlaient que de magiciens et de sortilèges.

Surtout, le décor sculpté de ces temples ou de ces palais enchantés paraissait diabolique.

Aux angles du temple de Chichen Itza, grimace le visage d'un monstre.

Stupéfiant, les lèvres distendues en rectangle, toutes les dents dehors, en grille, sur une bouche caverneuse.

Jean BAB ELON L'Amérique des Conquistadores - 155 -. »

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