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Marmaray

Publié le 03/11/2013

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Marmaray est une voie ferrée reliant les parties européenne et asiatique d'Istanbul à travers le Bosphore. Un tunnel immergé par 60 mètres de fond, le plus profond du monde construit selon cette méthode, permet de traverser ce détroit[1]. La construction du tunnel s'est achevée en avril 2009, tandis que la voie ferrée est mise en service le 29 octobre 2013[2],[3]. Le nom « Marmaray « (contraction de « Marmara Ray «) vient de l'association des noms de la mer de Marmara, située entre le détroit des Dardanelles et de celui du Bosphore, et de « ray «, qui signifie « rail « en turc. En 1987, les autorités politiques lancent les premières études de faisabilité. En 1998, ces études sont réactualisées et bouclées[8]. En 2000, les appels d'offre sont lancés sous le gouvernement de Bülent Ecevit et finalisés en 2004 sous l'AKP[9]. La construction du tunnel a débuté en mai 2004 et a été achevé le 23 septembre 2008[10]; une cérémonie officielle s'est tenue le 13 octobre pour marquer l'achèvement du tunnel[11], la dernière soudure a été posée le 21 avril 2009[3]. Le début du service commercial est prévu pour 2012 ou 2013[W 1],[11]. Le projet devrait faire...

« de 5 ou 10 voitures.

Certaines productions seront réalisées localement par Eurotem, la coentreprise formée par Hyundai Rotem et l'entreprise ferroviaire turque Tüvasaş.

Les voitures arriveront en trois lots : le premier comprenant 160 voitures sera livré d'ici à 2011 et les derniers en juin 2014. La domotique est l'ensemble des techniques de l'électronique, de physique du bâtiment, d'automatisme, de l'informatique et des télécommunications utilisées dans les bâtiments, plus ou moins « interopérables » et permettant de centraliser le contrôle des différents systèmes et sous-systèmes de la maison et de l'entreprise (chauffage, volets roulants, porte de garage, portail d'entrée, prises électriques, etc.).

La domotique vise à apporter des solutions techniques pour répondre aux besoins de confort (gestion d'énergie, optimisation de l'éclairage et du chauffage), de sécurité (alarme) et de communication (commandes à distance, signaux visuels ou sonores, etc.) que l'on peut retrouver dans les maisons, les hôtels, les lieux publics, etc. La domotique utilise des TIC qui peuvent être très consommatrices d'énergie et de matières rares ou précieuses.

Elle peut chercher à diminuer son empreinte écologique (« éco-domotique ») et celle de ses utilisateurs par un écodesign, en facilitant une meilleure maîtrise de la consommation énergétique de l'habitat, en améliorant l'efficience énergétique des installations, ou le pilotage automatique d'installations de production d'énergie (ex : association de panneaux solaires suivant le soleil, de « petit éolien » uniquement activé (pour limiter l'usure des pièces) quand les conditions de vent sont idéales et/ou pompe à chaleur activée quand le différentiel de température est idéal, etc.). Les nouvelles normes de construction imposent une meilleure gestion de l'énergie.

Ainsi, en France, depuis 2005, il est obligatoire de couper le chauffage lorsque l'on ouvre une fenêtre[3].

Depuis le 1er janvier 2013 la RT 2012 (issue du Grenelle de l'environnement) commence à imposer aux nouveaux permis de construire l'affichage et la mesure des consommations d'énergie pour au minimum les 5 postes suivants : ventilation, climatisation, chauffage, éclairage, et production d'eau chaude sanitaire, ceci afin d'aider à ce que la norme de "50kW/m2/an" ne soit pas dépassée. La domotique peut - par défaut, ou sur commande - conditionner l'éclairage et le chauffage d'une pièce, ou la mise en route de certains appareils à la présence ou non d'un occupant.

Un groupe japonais, le Sekisui. »

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