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Gregor Johann Mendel

Publié le 15/03/2012

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Dans ce cas - pour utiliser les mots de Mendel - la propriété "longue tige" était dominante et la propriété "courte tige" était récessive. En croisant entre elles les plantes obtenues par croisement, appelé par Mendel la génération F1, les propriétés récessives réapparaissent. C'est ainsi que naissait une autre génération, dont les trois quarts étaient à tige longue et un quart à tige courte. Mendel découvrit que la proportion d'un tiers allait toujours en progressant. Les rapports entre les propriétés devaient être calculés à l'avance pour plusieurs générations, pour permettre une simplification.

« exemple, la couleur du pois (vert ou jaune) , la cosse (lisse ou plissée), et la longueur de la tige (longue ou courte).

Mendel, qui faisait ses expériences avec soin, re­ cueillait lui-même le pollen pour féconder les fleurs et veillait toujours à empêcher une féconda­ tion croisée accidentelle .

Il transcrivait très soigneusement les résultats de ses recherches .

On savait déjà depuis le XVIIe siè­ cle que les plantes pouvaient se reproduire généti­ quement.

On pensait qu'en croisant différentes espèces, il apparaîtrait des propriétés se situant précisément entre celles des parents.

Or, Mendel prouva rapidement que ce n'était pas le cas, puis­ que en croisant un pois à longue tige avec un pois à courte tige, la première génération n'aurait pas une tige moyenne, mais uniquement une longue tige.

Dans ce cas -pour utiliser les mots de Mendel - la propriété "longue tige" était dominante et la pro­ priété "courte tige" était récessive .

En croisant entre elles les plantes obtenues par croisement, appelé par Mendel la génération F1, les propriétés récessives réapparaissent.

C'est ainsi que naissait une autre génération, dont les trois quarts étaient à tige longue et un quart à tige courte.

Mendel découvrit que la proportion d'un tiers al­ lait toujours en progressant.

Les rapports entre les propriétés devaient être calculés à l'avance pour plusieurs générations, pour permettre une simplification.

Avec ce que l'on pourrait appeler une "compré­ hension innée", Mendel établit une théorie, sui­ vant laquelle chaque propriété était déterminée par deux particules jointes de chaque parent.

Au Ci-dessus : Le résultat attendu de t la reproduction sélective chez l'homme.

!!\: ~ ~ A gauche : Polypl01die (appari­ tion d'un nombre de chromoso­ moment du croisement, l'une de ces particules est cédée par la cellule mâle (pollen) et une particule par la cellule femelle (germe).

Cette théorie est ac­ tuellement connue sous le nom de "première loi de Mendel".

Ces parties jointes ou facteurs héré­ ditaires sont les gardiens des bleus des propriétés héréditaires .

En 1909, ils furent appelés "gènes" (du grec mes supérieur à la normale) de plants de tomates .

1.

normal, feuille diploide à 24 chromoso­ mes; 2.

feuille triploide à 36 chro­ mosomes; 3.

feuille tétraploide à 48 chromosomes .

Les feuilles po­ lyploides sont en général plus grandes et plus fortes que les plantes diploides normales.

"donner naissance à") par le biologiste danois Wilhelm Ludvig Johannsen.

Nous pouvons consi­ dér. »

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