Cyrus Hall McCormick
Publié le 15/03/2012
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En 1851, a l'occasion de la Great Exhibition (la grande exposition) a Londres, la moissonneuse McCormick fit grande impression. En 1855, la machine recut la medaille d'honneur, lors de l'Exposition Internationale de Paris. Vers la fin des annees 1850, tous les paysans des pays a l'agriculture developpee ou en cours de developpement connaissaient la moissonneuse de McCormick. L'usine de Chicago en livra plus de quatre mille par an pour satisfaire a la demande. A la meme epoque, Chicago devint une ville commerciale importante et un noeud ferroviaire des nouveaux chemins de fer nationaux....
«
disparaître.
Un de ses défauts était, par exemple,
le bruit assourdissant de l'engin.
McCormick in-
troduisit une première demande de brevet pour la
machine qu'il construisit en 1834.
Cyrus McCormick possédait donc un brevet et
une moissonneuse, mais il fallut attendre 1837 -
lorsque son exploitation familiale se trouva au
bord de la ruine - pour qu'il tentât de rentabiliser
son invention.
Il y apporta différentes améliora-
tions au cours des années qui suivirent, créa un
A droite: La moissonneuse de
Obed Hussey, la première qui
reçut un brevet (1833).
Ci-dessous, à gauche: Essais en
public avec la moissonneuse
McCormick à Steele's Tavern, en
Virginie; juin 1831.
Ci-dessous, à droite: Une
moissonneuse-lieuse.
Il fallait un
grand attelage de chevaux pour la
tirer.
Cette machine colossale fut
un développement ultérieur de la
moissonneuse McCormick.
Elle
moissonnait les céréales et les liait
en gerbes, simultanément.
petit atelier et vendit très rapidement près de cin-
quante machines par an.
En 1844, il comprit que
l'avenir de la moissonneuse serait lié au défricha-
ge des immenses prairies, où l'on cultiverait du
blé.
Cyrus fit construire une usine à Chicago et vendit
huit cents moissonneuses la première année.
Mais, entre-temps, son brevet initial était arrivé à
son terme, et quelques hommes d'affaires se
groupèrent pour en empêcher le renouvellement.
McCormick ne put rivaliser avec la puissance des
hommes d'affaires et il perdit sa cause.
Il s'ensui-
vit une période de concurrence sévère entre les
deux sociétés rivales.
McCormick était toujours à
l'avant-garde avec ses puissantes techniques de
vente.
Il augmenta fortement ses méthodes de
production massive en offrant un crédit à long
terme aux acheteurs.
Il fit de la publicité partout, organisa des dé-
monstrations avec ses moissonneuses et l'emporta
très vite sur ses concurrents.
En 1851, à l'occasion de la
Great Exhibition
(la
grande exposition) à Londres, la moissonneuse
McCormick fit grande impression.
En 1855, la
machine reçut la médaille d'honneur, lors de l'Ex-
position Internationale de Paris.
Vers la fin des
années 1850, tous les paysans des pays à l'agricul-
ture développée ou en cours de développement
connaissaient la moissonneuse de McCormick.
L'usine de Chicago en livra plus de quatre mille
par an pour satisfaire à la demande.
A la même
époque, Chicago devint une ville commerciale im-
portante et un noeud ferroviaire des nouveaux
chemins de fer nationaux.
Durant les dernières années de sa vie, Cyrus
McCormick reçut de nombreuses distinctions et
décorations pour son travail, parmi lesquelles, la
Légion d'honneur qui lui fut remise par Napoléon
III en personne.
McCormick était de ces hommes
pour qui la richesse d'invention, un esprit com-
mercial sain et le succès allaient de pair pour ser-
vir l'humanité.
disparaître.
Un de ses défauts était, par exemple,
le bruit assourdissant de l'engin.
McCormick in-
troduisit une première demande de brevet pour la
machine qu'il construisit en 1834.
Cyrus McCormick possédait donc un brevet et
une moissonneuse, mais il fallut attendre 1837 -
lorsque son exploitation familiale se trouva au
bord de la ruine - pour qu'il tentât de rentabiliser
son invention.
Il y apporta différentes améliora-
tions au cours des années qui suivirent, créa un
A droite: La moissonneuse de
Obed Hussey, la première qui
reçut un brevet (1833).
Ci-dessous, à gauche: Essais en
public avec la moissonneuse
McCormick à Steele's Tavern, en
Virginie; juin 1831.
Ci-dessous, à droite: Une
moissonneuse-lieuse.
Il fallait un
grand attelage de chevaux pour la
tirer.
Cette machine colossale fut
un développement ultérieur de la
moissonneuse McCormick.
Elle
moissonnait les céréales et les liait
en gerbes, simultanément.
petit atelier et vendit très rapidement près de cin-
quante machines par an.
En 1844, il comprit que
l'avenir de la moissonneuse serait lié au défricha-
ge des immenses prairies, où l'on cultiverait du
blé.
Cyrus fit construire une usine à Chicago et vendit
huit cents moissonneuses la première année.
Mais, entre-temps, son brevet initial était arrivé à
son terme, et quelques hommes d'affaires se
groupèrent pour en empêcher le renouvellement.
McCormick ne put rivaliser avec la puissance des
hommes d'affaires et il perdit sa cause.
Il s'ensui-
vit une période de concurrence sévère entre les
deux sociétés rivales.
McCormick était toujours à
l'avant-garde avec ses puissantes techniques de
vente.
Il augmenta fortement ses méthodes de
production massive en offrant un crédit à long
terme aux acheteurs.
Il fit de la publicité partout, organisa des dé-
monstrations avec ses moissonneuses et l'emporta
très vite sur ses concurrents.
En 1851, à l'occasion de la
Great Exhibition
(la
grande exposition) à Londres, la moissonneuse
McCormick fit grande impression.
En 1855, la
machine reçut la médaille d'honneur, lors de l'Ex-
position Internationale de Paris.
Vers la fin des
années 1850, tous les paysans des pays à l'agricul-
ture développée ou en cours de développement
connaissaient la moissonneuse de McCormick.
L'usine de Chicago en livra plus de quatre mille
par an pour satisfaire à la demande.
A la même
époque, Chicago devint une ville commerciale im-
portante et un noeud ferroviaire des nouveaux
chemins de fer nationaux.
Durant les dernières années de sa vie, Cyrus
McCormick reçut de nombreuses distinctions et
décorations pour son travail, parmi lesquelles, la
Légion d'honneur qui lui fut remise par Napoléon
III en personne.
McCormick était de ces hommes
pour qui la richesse d'invention, un esprit com-
mercial sain et le succès allaient de pair pour ser-
vir l'humanité.
disparaitre.
Un de ses defauts etait, par exemple,
le bruit assourdissant de l'engin.
McCormick in-
troduisit une premiere demande de brevet pour la
machine qu'il construisit en 1834.
Cyrus McCormick posseclait donc un brevet et
une moissonneuse, mais it fallut attendre 1837 - lorsque son exploitation familiale se trouva au
bord de la ruine - pour qu'il tentat de rentabiliser
son invention.
Il y apporta differentes ameliora-
tions au cours des annees qui suivirent, crea un Agriculture
A droite: La moissonneuse de Obed Hussey, la premiere qui
recut un brevet (1833).
Ci-dessous, a gauche: Essais en
public aveclamoissonneuse
McCormick a Steele's Tavern, en Virginie; juin 1831.
Ci-dessous, adroite: Une
moissonneuse-lieuse.
11 fallait un
grand attelage de chevaux pour la
tirer.
Cette machine colossale fut
un developpement ulterieur de la
moissonneuse McCormick.
Elle
moissonnait les cereales et les liait
en gerbes, simultanement.
petit atelier et vendit tres rapidement pres de cin-
quante machines par an.
En 1844, it comprit que
l'avenir de la moissonneuse serait lie au defricha-
ge des immenses prairies, oil l'on cultiverait du
ble.
Cyrus fit construire une usine a Chicago et vendit
huit cents moissonneuses la premiere annee.
Mais, entre-temps, son brevet initial etait arrive a
son terme, et quelques hommes d'affaires se
grouperent pour en empecher le renouvellement.
McCormick ne put rivaliser avec la puissance des
hommes d'affaires et it perdit sa cause.
Il s'ensui-
vit une periode de concurrence severe entre les
deux societes rivales.
McCormick etait toujours
]'avant -garde avec ses puissantes techniques de
vente.
II augmenta fortement ses methodes de
production massive en offrant un credit a long
terme aux acheteurs.
Il fit de la publicite partout, organisa des de-
monstrations avec ses moissonneuses et l'emporta
tres vite sur ses concurrents.
En 1851, a l'occasion de la Great Exhibition (la
grande exposition) a Londres, la moissonneuse
McCormick fit grande impression.
En 1855, la
machine recut la medaille d'honneur, lors de ]'Ex-
position Internationale de Paris.
Vers la fin des
annees 1850, tous les paysans des pays a l'agricul-
ture developpee ou en cours de developpement
connaissaient la moissonneuse de McCormick.
L'usine de Chicago en livra plus de quatre mine
par an pour satisfaire a la demande.
A la meme
epoque, Chicago devint une ville commerciale im-
portante et un noeud ferroviaire des nouveaux
chemins de fer nationaux.
Durant les dernieres annees de sa vie, Cyrus
McCormick recut de nombreuses distinctions et
decorations pour son travail, parmi lesquelles, la
Legion d'honneur qui lui fut remise par Napoleon
III en personne.
McCormick etait de ces hommes
pour qui la richesse d'invention, un esprit com-
mercial sain et le succes allaient de pair pour ser-
vir l'humanite.
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