UN PORTRAIT DE LOUIS XV du Comte de Kaunitz dans les Mémoires sur la cours de France (commentaire)

« B) … éduqué par de mauvaises personnes. l 21 : « Jamais éducation ne fut plus négligée.

» Son précepteur était André Hercule de Fleury, évêque de Fréjus.

D'après Kaunitz, ce dernier était très mauvais et à donner roi une mauvaise éducation n'en faisant pas un bon souverain l'éloignant des affaires du gouvernement.

Il prends ainsi en quelques sortes les rênes du royaume.

Il sera donc nommé premier ministre puis Cardinal sous la demande de Louis XV.

Mme de Maintenon, la duchesse de Ventadour élèvera cette enfant avant d'être remplacer par le Maréchal-duc de Villeroy : ancien favori de Louis XIV qui chérissait les étiquettes obligeant le jeune dauphin à danser comme son grand père des ballets en public et n'hésite pas l'exhiber pour maintenir le culte de la monarchie. l 7 : « Un grand fond de religion.

» Son précepteur était le Cardinal de Fleury, en tant que futur roi il à été éduqué dans le respect de la religion : il était le représentant de Dieu sur la terre, il porte d'ailleurs le titre de « Roi Très Chrétien.

» il va tout les jours à la messe, il fait bien le jeûne les jours maigres.

De plus il exige la même régularité de la part de ses courtisans. II°) Roi controversé... A) ...jugé avare et fainéant... l 16 : « On reproche au roi de ne pas être généreux, de se laisser arracher par faiblesse ce qu'il refuserait par tempérament.

» Il semblerait que Louis XV ai tendance à se laisser influencer par rapport à sa richesse, qu'il donnerait de l'argent non par parce qu'il en avait envie mais plutôt pour satisfaire ses maîtresses par exemple ou ses courtisans. l 23 : « consista à inspirer au roi un dégoût souverain pour les affaires.

» cette réputation de roi fainéant lui venait du principe que tout le monde pensait qu'il ne gouvernait pas par lui-même mais grâce à ses conseillers, ses favoris.

En effet les grandes décisions du royaume se prenait entre le roi et certains ministres voir dans le cabinet royal avec ses favoris.

Tout comme son grand-père il correspond avec ses ministres par des lettres secrètes menant ainsi une politique souterraine ignorée des membres de son conseil. B) … qui ne peut pas gouverner sans ses ministres. l 29 : « S'il n'est pas instruit lui-même, il se présente quelques fois des cas où la science de ses ministres ne doit pas lui paraître moins suspecte.

» Louis XV n'a pas les connaissances nécessaire dans certains domaines, il ne prends pas pour argent content tout ce qu'on lui dit.

si parfois il demande à ses conseillers, ministres, il n'en reste pas moins qu'il possède des connaissances étant donné qu'il à reçu une éducation de prince. l 39 : « Il est inaccessible à tous ses sujets.

» Louis XV n'écoute que ses favoris, il n'écoute pas les doléances de sont peuples.

Il semblerait qu'il n'écoutait que ses ministres qui étaient despotique au plus haut point et qui généralement ne référait pas au roi les plaintes qu'ils entendent. De plus le faite qu'il mène parfois une politique souterraine n'était pas à son avantage et n'a fait qu'entretenir la rumeur du roi qui ne gouvernait pas par lui-même. III°) Roi des Plaisirs. A) … de la chasse et de la chair. l 5 : « Les exercices violents lui sont devenus nécessaires.

» Le roi avait pour habitude d'aller chasser quatre fois par semaine sauf le dimanche et les jours de fêtes.

Il aimait également monter ses cheveux.

Il connaît les noms de ses chiens et veillent soigneusement à leur bien-être.

Louis XV les fera d'ailleurs tous peindre.

Il réalise des tableaux de chasse important selon d'anciens écrits puisqu'en une journée il aurait tué 208 cerfs en 1738 et 105 en 1741.

Il chasse avec une passion sans précédente allant même jusqu'à épuisé les hommes, les chiens et les cheveux. l 3 : « sa santé est cependant très robuste.

» Grâce à la chasse, le roi s'échappe de Versailles, selon un rapport Dufort de Cheverny : « il avait une grande attention à ne jamais passer dans une terre labourée, ensemencée ou prête à rapporter ; il tançait rudement mes chasseurs qui passaient même sur les. »