Sujet : les mutations du système scolaire et universitaire français de la révolution à la fin du second empire
Publié le 05/11/2019
Extrait du document
Ne juxtaposez pas trop les informations, hiérarchisez-les davantage. Il faudrait davantage expliquer ce que vous présentez.
Ce siècle a été une révolution concernant l’éducation . ce ne sont plus les familles qui en ont totalement la charge mais l’école.Cette dernière étant sous la directive de l’Etat.
De nouveaux établissements voient le jour, les collèges, lycées et grandes écoles.
Les filles ont enfin leurs écoles et l’église garde une place importante avec de l’enseignement privé ce qui a provoqué de grands débats ( partisans des congrégations religieuses contre les partisans de la laïcité).
Mais la scolarisation reste inégale entre les villes et les campagnes et le Nord et le Sud. Cette problématique de l’école à deux vitesses reste bien (trop) présente de nos jours.
De plus, le système éducatif français actuel n’est plus adapté aux demandes de la vie professionnelle. Ce débat surtout politique, ne permet pas d’avancer aussi vite que la société et les quelques réformes proposées ne suffisent pas à satisfaire.
Votre conclusion ne formule pas une idée générale sur l'évolution mais reprend un certain nombre d'éléments parmi d'autres, ce qui lui donne un aspect disparate. Il faudrait mieux faire ressortir ce que vous avez voulu démontrer.
Indiquez bien votre bibliographie.
«
Le rapport Dannon Daunou devient une loi où les écoles primaires permettent aux élèves d’apprendre à lire, écrire
et calculer mais il n’y a ni gratuité ni obligation de fréquenter l’école
Mais la loi en question est celle qui crée ou reprend ce qui suit.
Il faut faire le lien.
B) transformation au niveau de l’enseignement primaire et secondaire
Les écoles paroissiales disparaissent (1790) et ce sont les communes qui fournissent les locaux et recrutent les
maîtres et les rémunèrent.
Les collèges d’Ancien Régime sont supprimés également pour laisser la place aux écoles centrales.
Entrez dans
les détails (Lakanal)
Mise en place de l’enseignement moderne ( mathématiques, physique, sciences naturelles) mais avec des
difficultés surtout pour trouver des professeurs qualifiés.
C) transformation de l’enseignement supérieur
L’université s’arrête et la création d’écoles spécialisées se met en place.
Entre 1793 et 1795, apparaissent le
Muséum d’Histoires Naturelles, l’école polytechnique, le conservatoire des Arts et des métiers, des écoles de santé
et le collège de France.
Vous décrivez une situation qu'il faudrait davantage expliquer.
II) l’école napoléonienne est à 2 vitesses
Introduction
A) Napoléon se
désintéresse et par conséquent délaisse l’enseignement primaire
La loi de 1802 laisse aux communes le choix de se regrouper ou non, ainsi que le recrutement des maîtres.
Mais
elles ont peu de motivation et le budget reste inapproprié.
Ce qui permet à l’enseignement privé de réapparaitre à
partir de cette date.
Ces établissements privés accueillent un maximum d’enfants mais n’exercent pas à la
campagne et n’acceptent pas les filles.
B) priorité à l’enseignement secondaire et le supérieur
Cette même loi crée deux établissements, les lycées d’abord, puis les écoles secondaires renommées collèges en
1809.
Ils accueillent des enfants du même âge mais n’ayant pas la même ambition.
Les enseignements d’ailleurs
sont différents, dans les lycées, ce sont des matières telles que mathématiques, physique et langues anciennes
avec une organisation militaire.
Seuls les meilleurs élèves et les enfants de notables peuvent y entrer puisque
l’enseignement y est payant.
Cette même loi permet aux particuliers (et aux communes) de créer des écoles secondaires mais avec
l’autorisation de l’Etat qui met en place des inspections.
De plus, le catéchisme est de nouveau enseigné dans les
établissements publics avec une aumônerie dans chaque lycée.
Mais ce dernier n’est plus l’établissement privilégié
des notables qui préfèrent le privé qui suit une éducation plus classique.
Dans le supérieur, les écoles spécialisées restent mais d’autres voient
le jour, telles que les écoles de médecine, pharmacie et droit.
Les diplômes deviennent nationaux et en 1808, elles
sont renommées facultés..
»
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