Sujet : “Le pharaon et la guerre”

« BUISSON Lucie 1ère année histoire Savoirs et méthodes en Histoire ancienne Egypte Antique Sujet : “Le pharaon et la guerre” La guerre : Quelle est son rôle et sa place au sein de la culture égyptienne ? Le pharaon est un dirigeant et le chef des armées au sein de l'Égypte antique. Il mène des guerres pour défendre son empire et pour l’agrandir. Lors de ces différentes batailles, le pharaon montre sa puissance et son pouvoir aux peuples qu’il gouverne. Il est vu comme un dieu et c’est un dirigeant qui est ferme et qui contrôle la totalité de l’Egypte. Souvent les pharaons sont représentés sur leurs sarcophage, avec un postiche qui s’imbolise leurs pouvoirs. Sur le sarcophage, les pharaons sont représentés tenant dans leur main droite, la crosse des bergers, qui représente le guide pour le peuple et dans leur main gauche, ils tiennent le fléau représentant la justice. La guerre permet à la culture égyptienne, d’approvisionner leurs ressources, d’étendre leurs terres et leur empire. Dans la culture égyptienne, la guerre a une place particulière, elle est là pour montrer l’étendue monarchique pharaonique de l’Egypte antique. La gloire militaire est présente sous le règne du pharaon Ramsès II, il a une grande armée qui est très bien organisée et très puissante. Son armée est composé de quatre divisions, et chacune d’elle est placée sous la protection d’un dieu. La première division protégeait le Sud de l’Egypte, la deuxième division contrôlait la frontière asiatique, la troisième division protégeait la région où ils habitaient et la quatrième division, contrôlait aussi la frontière asiatique. La guerre recrutait aussi des mercenaires, ses mercenaires étaient là par obligation, c’était des combattants qui venaient des peuples conquis et des peuples soumis par le pharaon. A l’époque pharaonique, la guerre avait une place importante au sein de la culture égyptienne, car elle est reliée à la religion. Quand un pharaon revenait d’une guerre ou d’un voyage, sans être blessé, il était acclamé par le peuple à son retour. L’absence de blessures, voulait dire qu’il avait été protégé par les divinités.. »