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Suisse.

Publié le 15/04/2013

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suisse
Suisse. 1 PRÉSENTATION Suisse, en allemand Schweiz, en italien Svizzera et en romanche Svizra, pays d'Europe occidentale. Sa capitale est Berne. La Suisse est située dans les Alpes occidentales ; le pays est enserré entre la France à l'ouest et au nord, l'Allemagne au nord, l'Autriche et le Liechtenstein à l'est, et l'Italie au sud. 2 MILIEU NATUREL 2.1 Relief La Suisse, d'une longueur maximale du nord au sud de 220 km et d'une largeur maximale d'ouest en est de 348 km, couvre une superficie de 41 285 km². Son relief est constitué dans ses grandes lignes par les Alpes, qui occupent les trois cinquièmes du territoire helvétique et dont elle commande les principaux passages (puisque c'est le seul pays à s'étendre sur les deux versants de la chaîne alpine), et par un massif montagneux plus ancien, le Jura. Orientées du sud-ouest au nord-est, ces deux chaînes sont séparées par la dépression du Plateau suisse. Les Alpes suisses comprennent plusieurs chaînes, dont les Alpes Pennines où se trouve le plus haut sommet suisse, la pointe Dufour (4 634 m), dans le mont Rose et, plus au sud, le mont Cervin, deuxième sommet suisse avec une altitude de 4 478 m. Les massifs centraux de l'Aar-Gothard portent des glaciers, le plus grand d'entre eux et le plus grand d'Europe, l'Aletsch, se trouvant dans le massif de l'Aar. Le système alpin est en certains endroits entaillé par des vallées profondes et sinueuses comme l'Engadine, à l'est. Le col du Saint-Gothard est la principale voie de passage entre l'Europe centrale et l'Italie. Le Jura, quant à lui, s'étire de Dole jusqu'à Zurich et culmine à 1 600 m ; bien moins élevé que les Alpes, il constitue néanmoins une barrière abrupte qui n'est franchissable qu'en de rares passages. Entre les Alpes et le Jura, le Plateau suisse (ou Moyen Pays) s'étend, du sud-ouest au nord-est, du lac Léman au lac de Constance, avec une altitude moyenne de 395 m et une largeur d'environ 50 km. Ce vaste plateau constitue la région vitale du pays et regroupe la majorité de la population et des agglomérations. 2.2 Hydrographie L'importance du réseau hydrographique a amené les géographes à surnommer la Suisse le « château d'eau « de l'Europe. En effet, les vallées suisses sont parcourues de nombreux cours d'eau torrentueux, coupés de chutes et de cascades : Schaffhouse sur le Rhin, Staubbach (environ 300 m de haut), dans le canton de Berne. Avec le Rhin, le Rhône, le Tessin et l'Inn, la Suisse alimente de ses eaux la mer du Nord, la Méditerranée, l'Adriatique et la mer Noire. Le bassin du Rhin draine avec ses affluents 60 % du territoire. D'abord torrent de montagne, son cours ne se régularise qu'à la sortie du lac de Constance. Le bassin du Rhône, quant à lui, draine 18 % du territoire suisse. Le rôle des lacs est primordial : ils épurent les eaux troubles des fleuves, stabilisent leur régime en canalisant les crues et en compensant les étiages saisonniers. La plupart sont situés au débouché des vallées alpines. Outre le lac Léman et le lac de Constance, la Suisse abrite le lac de Lugano, le lac Majeur (le point le plus bas de la Suisse, à 194 m au-dessus du niveau de la mer), le lac de Neuchâtel, le lac des Quatre-Cantons (ou lac de Lucerne), le lac de Zurich, et enfin les lacs de Brienz et de Thun. 2.3 Climat La Suisse jouit d'un climat tempéré, de type montagnard avec des influences continentales. La moyenne thermique annuelle est de 7 °C (soit 20 °C en été, 4 °C en hiver), les températures diminuant en altitude d'environ 1,7 °C tous les 300 m. Les précipitations varient en fonction de l'altitude : sur le Plateau suisse, la moyenne annuelle est d'environ 915 mm de pluie, les zones plus élevées recevant généralement beaucoup plus d'eau. L'enneigement de la Suisse est inégal ; il varie entre quelques jours par an dans certaines vallées du Tessin et de six à dix mois dans les Hautes-Alpes. Au-delà de 2 700 m, les sommets sont couverts de neiges éternelles. Les vents froids du nord, comme la bise, prédominent en hiver. Le foehn, un vent chaud et sec du sud-est, souffle en moyenne 34 jours par an, adoucissant notablement le climat. 2.4 Ressources naturelles La forêt couvre 29,6 % du territoire. Ni les sols ni le climat ne sont favorables à l'agriculture, mais le pays possède d'importantes ressources hydroélectriques. Le sel est la seule ressource minérale abondante. 2.5 Végétation et faune La flore et la faune suisses sont d'une grande richesse. Les écosystèmes alpins, en particulier, abritent une importante biodiversité, l'une des plus élevées d'Europe. 2.5.1 Végétation Le territoire suisse est riche de quelque 10 000 espèces de végétaux (lichens, mousses, fougères, gymnospermes et angiospermes) et de champignons. Comme dans tous les pays montagneux, la végétation est étagée : cultures et prairies dans les vallées et sur les premières pentes, forêts et alpages montant jusqu'à la limite des neiges. Sur les ubacs, les forêts de conifères (sapins et épicéas) dominent, les adrets étant plus riches en feuillus et en mélèzes. Le Jura, au climat froid (on parle de la « Sibérie neuchâteloise «), est le domaine du hêtre et des conifères, tandis que dans le Tessin, au climat plus doux, le châtaignier est très répandu, formant de vastes peuplements sur les pentes orientées au sud et à l'ouest. Le plateau central est propice aux hêtres et aux pâturages. La flore suisse est majoritairement celle des systèmes alpins : edelweiss, anémones, aster des Alpes, lis, pin mugho et orme de montagne croissent sur tout le territoire. Cependant, la présence de microclimats autour des lacs autorise parfois l'acclimatation de plantes et d'arbres méditerranéens tels que le magnolia, l'amandier, et le noyer. 2.5.2 Faune La faune rassemble près de 40 000 espèces connues (invertébrés et vertébrés). On y trouve plusieurs milliers d'insectes, dont près de 190 espèces de papillons. Les amphibiens comptent une vingtaine d'espèces et les reptiles, une quinzaine. Près de 400 espèces d'oiseaux, sédentaires ou de passage, fréquentent le territoire suisse, sur lesquelles environ 175 sont nicheuses. Les mammifères sont représentés par près de 90 espèces, en majorité des rongeurs et des chauves-souris (une trentaine d'espèces). Parmi les mammifères emblématiques de la faune des montagnes figurent la marmotte des Alpes, le chamois et le bouquetin. L'ours brun qui, exterminé par la chasse, était absent des Alpes suisses depuis 1904, a fait sa réapparition en 2004 ; il est représenté par quelques individus isolés venus d'Italie et d'Autriche. Le loup, qui avait disparu au XIXe siècle, fait lui aussi, depuis le début des années 2000, des incursions sporadiques, depuis l'Italie et la France. Les lacs et rivières suisses abritent environ 70 espèces de poissons, dont une cinquantaine est indigène. La féra est une espèce endémique du lac Léman. Les eaux douces renferment également 7 espèces d'écrevisses, dont 3 indigènes. 2.6 Problématiques environnementales Les installations hydroélectriques et la canalisation des cours d'eau, à l'origine de modifications radicales des écosystèmes des lacs et des rivières, représentent l'une des problématiques environnementales majeures de la Suisse. Les populations de poissons, en particulier, sont en régression. Par ailleurs, le trafic routier génère une importante pollution de l'air, en diminution toutefois grâce notamment à la mise en place de nouvelles normes dans le domaine de l'automobile, ainsi qu'à l'application (depuis 1997) de la redevance sur le trafic des poids lourds liée aux prestations (RPLP), qui est une incitation à utiliser les infrastructures ferroviaires, beaucoup moins polluantes. La forte densité de population, ainsi que le développement du tourisme de montagne, ont des répercussions sur les écosystèmes, tandis que l'utilisation de canons à neige pour pallier les chutes de neige insuffisantes est très consommatrice en eau. Enfin, en raison du réchauffement climatique, les forêts gagnent en altitude, menaçant les écosystèmes de haute montagne. Outre sa participation à de nombreux traités internationaux relatifs à la protection de l'environnement (protocole de Kyoto, Convention sur la diversité biologique, Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction [CITES], Convention de Ramsar sur les zones humides, Convention sur les espèces migratrices [Convention de Bonn], etc.), la Suisse est impliquée, régionalement, dans la protection des écosystèmes alpins. Les zones protégées représentent 28,7 % du territoire. 3 POPULATION ET SOCIÉTÉ 3.1 Caractéristiques démographiques En 2008, la Suisse comptait 7 581 520 habitants, ce qui correspond à une densité de population de 191 habitants au km² ; il s'agit d'une densité relativement élevée dans la mesure où un quart du territoire est occupé par les lacs et les montagnes. 28,2 % des Suisses ont moins de 24 ans, tandis que les plus de 65 ans représentent 16 % de la population. L'espérance de vie est de 80,7 années, et l'indice de fécondité, de 1,44 enfant par femme. La part de la population urbaine est de 67,5 %, répartie en majorité dans des villes de moins de 100 000 habitants. Le taux d'accroissement naturel de la population est très faible (0,11 % en 2008). La population étrangère est très importante puisque les étrangers représentaient plus de 20 % de la population au milieu des années 2000. Les Italiens constituent la plus forte communauté étrangère, suivis par les Kosovars (200 000 Albanais du Kosovo à la fin des années 2000). 3.2 Divisions administratives et villes principales La Suisse est une confédération d'États appelés « cantons « ; elle regroupe vingt-six cantons : Argovie (Aargau) ; Appenzell Rhodes-Extérieures ; Appenzell RhodesIntérieures ; Bâle-Campagne (Basel-Land) ; Bâle-Ville (Basel-Stadt) ; Berne (Bern) ; Fribourg (Freiburg) ; Genève ; Glaris (Glarus) ; Grisons (Graubünden) ; Jura ; Lucerne (Luzern) ; Neuchâtel ; Nidwald ; Obwald ; Saint-Gall (Sankt Gallen) ; Schaffhouse (Schaffhausen) ; Schwyz ; Soleure (Solothurn) ; Thurgovie (Thurgau) ; Tessin (Ticino) ; Uri ; Valais (Wallis) ; Vaud ; Zoug (Zug) et Zurich (Zürich). La mégalopole suisse s'ordonne autour de Zurich (347 517 habitants en 2005) qui est la ville la plus importante et le principal centre financier du pays. Bâle (163 930 habitants), le port de commerce le plus développé de Suisse, concentre l'essentiel des industries chimiques et pharmaceutiques du territoire, et rayonne sur d'autres villes comme Lucerne (57 533 habitants) et Winterthur (93 546 habitants). Genève (178 722 habitants), centre culturel, financier et industriel, est renommée pour son industrie horlogère et pour sa joaillerie ; elle est également le siège de nombreux organismes internationaux. La capitale politique, Berne (122 178 habitants), a une vocation administrative et financière. Lausanne (117 388 habitants) est un carrefour ferroviaire ainsi qu'une ville universitaire. 3.3 Langues et religions La Constitution fédérale reconnaît quatre langues nationales : l'allemand (parlé par 63,7 % de la population), le français (20,4 %) et l'italien (6,5 %) ; la quatrième est le romanche, lang...
suisse

« de la faune des montagnes figurent la marmotte des Alpes, le chamois et le bouquetin.

L’ours brun qui, exterminé par la chasse, était absent des Alpes suisses depuis 1904,a fait sa réapparition en 2004 ; il est représenté par quelques individus isolés venus d’Italie et d’Autriche.

Le loup, qui avait disparu au XIXe siècle, fait lui aussi, depuis le début des années 2000, des incursions sporadiques, depuis l’Italie et la France. Les lacs et rivières suisses abritent environ 70 espèces de poissons, dont une cinquantaine est indigène.

La féra est une espèce endémique du lac Léman.

Les eaux doucesrenferment également 7 espèces d’écrevisses, dont 3 indigènes. 2.6 Problématiques environnementales Les installations hydroélectriques et la canalisation des cours d’eau, à l’origine de modifications radicales des écosystèmes des lacs et des rivières, représentent l’une desproblématiques environnementales majeures de la Suisse.

Les populations de poissons, en particulier, sont en régression.

Par ailleurs, le trafic routier génère uneimportante pollution de l’air, en diminution toutefois grâce notamment à la mise en place de nouvelles normes dans le domaine de l’automobile, ainsi qu’à l’application(depuis 1997) de la redevance sur le trafic des poids lourds liée aux prestations (RPLP), qui est une incitation à utiliser les infrastructures ferroviaires, beaucoup moinspolluantes.

La forte densité de population, ainsi que le développement du tourisme de montagne, ont des répercussions sur les écosystèmes, tandis que l’utilisation decanons à neige pour pallier les chutes de neige insuffisantes est très consommatrice en eau.

Enfin, en raison du réchauffement climatique, les forêts gagnent en altitude,menaçant les écosystèmes de haute montagne. Outre sa participation à de nombreux traités internationaux relatifs à la protection de l’environnement (protocole de Kyoto, Convention sur la diversité biologique,Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction [CITES], Convention de Ramsar sur les zones humides,Convention sur les espèces migratrices [Convention de Bonn], etc.), la Suisse est impliquée, régionalement, dans la protection des écosystèmes alpins.

Les zones protégéesreprésentent 28,7 % du territoire. 3 POPULATION ET SOCIÉTÉ 3.1 Caractéristiques démographiques En 2008, la Suisse comptait 7 581 520 habitants, ce qui correspond à une densité de population de 191 habitants au km² ; il s’agit d’une densité relativement élevée dansla mesure où un quart du territoire est occupé par les lacs et les montagnes. 28,2 % des Suisses ont moins de 24 ans, tandis que les plus de 65 ans représentent 16 % de la population.

L’espérance de vie est de 80,7 années, et l’indice de fécondité,de 1,44 enfant par femme.

La part de la population urbaine est de 67,5 %, répartie en majorité dans des villes de moins de 100 000 habitants.

Le taux d’accroissementnaturel de la population est très faible (0,11 % en 2008).

La population étrangère est très importante puisque les étrangers représentaient plus de 20 % de la population aumilieu des années 2000.

Les Italiens constituent la plus forte communauté étrangère, suivis par les Kosovars (200 000 Albanais du Kosovo à la fin des années 2000). 3.2 Divisions administratives et villes principales La Suisse est une confédération d’États appelés « cantons » ; elle regroupe vingt-six cantons : Argovie (Aargau) ; Appenzell Rhodes-Extérieures ; Appenzell Rhodes-Intérieures ; Bâle-Campagne (Basel-Land) ; Bâle-Ville (Basel-Stadt) ; Berne (Bern) ; Fribourg (Freiburg) ; Genève ; Glaris (Glarus) ; Grisons (Graubünden) ; Jura ; Lucerne(Luzern) ; Neuchâtel ; Nidwald ; Obwald ; Saint-Gall (Sankt Gallen) ; Schaffhouse (Schaffhausen) ; Schwyz ; Soleure (Solothurn) ; Thurgovie (Thurgau) ; Tessin (Ticino) ;Uri ; Valais (Wallis) ; Vaud ; Zoug (Zug) et Zurich (Zürich). La mégalopole suisse s’ordonne autour de Zurich (347 517 habitants en 2005) qui est la ville la plus importante et le principal centre financier du pays.

Bâle(163 930 habitants), le port de commerce le plus développé de Suisse, concentre l’essentiel des industries chimiques et pharmaceutiques du territoire, et rayonne surd’autres villes comme Lucerne (57 533 habitants) et Winterthur (93 546 habitants).

Genève (178 722 habitants), centre culturel, financier et industriel, est renommée pourson industrie horlogère et pour sa joaillerie ; elle est également le siège de nombreux organismes internationaux.

La capitale politique, Berne (122 178 habitants), a unevocation administrative et financière.

Lausanne (117 388 habitants) est un carrefour ferroviaire ainsi qu’une ville universitaire. 3.3 Langues et religions La Constitution fédérale reconnaît quatre langues nationales : l’allemand (parlé par 63,7 % de la population), le français (20,4 %) et l’italien (6,5 %) ; la quatrième est leromanche, langue rhéto-romane parlée par moins 0,5 % des habitants, presque exclusivement dans les Grisons, et reconnue langue officielle par référendum.

Environ 9 %de la population parle d’autres langues (essentiellement les langues des populations immigrées, telles que l’espagnol, le portugais, le turc et le serbe – statistiques de2002). La majorité des cantons est monolingue ; on parle allemand dans 17 cantons, et 4 cantons sont uniquement francophones (Genève, Vaud, Neuchâtel et le Jura).

La Suissecompte 3 cantons bilingues français/allemand (Valais, Fribourg et Berne) et un seul canton trilingue allemand/italien/romanche (Grisons).

L’italien est parlé dans un canton(Tessin) et dans les vallées du sud des Grisons. La langue commune est le Schwyzertütsch (suisse allemand), amalgame de plusieurs dialectes alémaniques ne pouvant se comparer à l’allemand écrit ou à d’autres dialectes germaniques.

Les deux principales langues culturelles sont l’allemand classique, principalement utilisé par les médias, et le français. La liberté de conscience, de croyance et le libre exercice du culte sont garantis par la Constitution ; il n’existe pas de religion officielle.

Le paysage religieux est marqué parla Réforme protestante qui a mis fin à l’unité confessionnelle de la Suisse au XVIe siècle.

Au XXIe siècle, les religions dominantes demeurent le catholicisme (qui concerne 41,8 % de la population selon les chiffres du recensement de 2000) et le protestantisme (35,5 %, contre 52,7 % en 1960), même si ces Églises sont confrontées à unaffaiblissement de leur influence depuis les années 1970.

L’islam concerne 4,3 % de la population, et le christianisme orthodoxe, 1,8 %. 3.4 Éducation La Suisse possède un système éducatif remarquable par son « quadrilinguisme » et sa décentralisation.

La Constitution assure l’éducation gratuite et obligatoire, mais,depuis la révision de 1874 et l’amendement de 1902, le gouvernement fédéral limite sa contribution à des subventions, pour laisser une complète souveraineté aux cantons. Le cycle scolaire obligatoire varie de sept à neuf ans selon les cantons : l’enseignement y est dispensé dans la langue officielle locale, mais les élèves peuvent égalementapprendre les autres langues nationales. L’enseignement secondaire se déroule dans les « gymnases » (lycées) et se conclut par l’obtention d’un certificat de maturité donnant accès aux universités et aux autresétablissements d’enseignement supérieur.

La Suisse est le pays de l’OCDE qui connaît la plus forte proportion d’élèves poursuivant leur scolarité dans le secondaire à la findes années d’enseignement obligatoire (90 % à la fin des années 2000) ; Voir aussi enseignement en Suisse. La Suisse compte dix universités dont certaines remontent au Moyen Âge : trois sont francophones, Genève (1599), Lausanne (1537) et Neuchâtel ; quatre sontgermanophones, Bâle (fondée en 1460, où Érasme a enseigné), Zurich (1833), Berne et Saint-Gall.

L’université de Fribourg est bilingue français-allemand, tandis que celle. »

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