Quelles sont les évolutions que Connaît le monde ouvrier De 1850 à 1939 en Europe ?
Publié le 20/11/2011
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De même, les conditions de vie des ouvriers et de leurs familles s’améliorent lentement. La nourriture et le logement, tout en restant des postes de dépenses majeurs, voient leur prix baisser. La volonté d’accéder à un certain confort de vie, qui s’apparente à celui de la petite bourgeoisie, se retrouve par la part toujours plus importante accordée à l’achat de mobilier mais aussi avec l’émergence d’une société de loisirs. Certains gouvernements comme celui du Front Populaire promeuvent ces nouvelles mesures avec des augmentations de salaire ou l’organisation du temps libre. Les sports et le cinéma deviennent des loisirs de masse. Enfin, la possibilité d’accéder à de nouveaux emplois, fonctionnaires et employés, constituent une issue pour les enfants de la classe ouvrière.
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revendications vont peser sur les décisions des Etats européen.
Ces derniers vont proposer un nouveau contratsocial lié àl'évolution des conditions de travail et de vie aux populations concernées.
L'accent est mis sur la réduction dutemps de travail.La journée de 8 heures est une revendication qui va prendre corps au fur et à mesure des avancées sociales en lienavec lesbaisses du temps quotidien de travail : 12 heures en 1890 puis 10 en 1900.
Cette question devient, partout enEurope, un enjeude civilisation.
Les quarante heures hebdomadaires accordées par le Front Populaire en 1936, représentent unesorte d'apogéede la revendication ouvrière.
Mais, c'est sur le travail des enfants que les résultats sont le plus spectaculaire, toutd'abord enPrusse puis, plus indirectement, avec les lois d'obligation scolaire en France ou au Royaume-Uni.
Les enfantscessent dedevenir une « denrée » consommable à outrance.
De même, l'Allemagne en tête dès le troisième quart du XIXe sièclepuis lesautres pays européens, la loi pose comme principe des droits nouveaux aux personnes : assurance maladie,assurancechômage voire de retraite.De même, les conditions de vie des ouvriers et de leurs familles s'améliorent lentement.
La nourriture et le logement,tout enrestant des postes de dépenses majeurs, voient leur prix baisser.
La volonté d'accéder à un certain confort de vie,quis'apparente à celui de la petite bourgeoisie, se retrouve par la part toujours plus importante accordée à l'achat demobilier maisaussi avec l'émergence d'une société de loisirs.
Certains gouvernements comme celui du Front Populaire promeuventcesnouvelles mesures avec des augmentations de salaire ou l'organisation du temps libre.
Les sports et le cinémadeviennent desloisirs de masse.
Enfin, la possibilité d'accéder à de nouveaux emplois, fonctionnaires et employés, constituent uneissue pourles enfants de la classe ouvrière.
Conclusion :Ainsi, les améliorations des conditions de vie sont incontestables à la veille de la Seconde Guerre mondiale.L'ensemble de cesmesures n'empêchera pas les ouvriers d'être les premiers touchés par les stigmates de la crise de 1929..
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