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PORTRAIT D'UN PAYS D'ÉMIGRATION DU VENEZUELA

Publié le 17/01/2022

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Économie


En 1970, le Venezuela a été en mesure de briser l'emprise multinationale sur son industrie pétrolière et gazière. Il y a eu une prospérité, basée sur le boom pétrolier, mais qui a été suivie par une baisse des prix de pétrole, une récession, le chômage, la corruption gouvernementale et un manque de personnel qualifié qui ont contraint le renversement de la politique initiale de nationalisation. Cela a été un fardeau surtout pour les pauvres, mais il a également touché la classe moyenne au Venezuela. Plus tard, il y a eu une grave régression de 2002 à 2003, mais l'économie a repris les dessus dans les années 2004 et 2005 grâce à une augmentation énorme des dépenses du gouvernement. Mais le Venezuela a eu une réelle grande hausse lorsque le PIB a augmenté de 10,3% en l'an 2006¹. Il a été classé comme un pays à revenu supérieur situés en Amérique latine. L'économie du Venezuela est très forte et bien développé. Le PIB du Venezuela est de 186,3 milliards de dollars tandis que le PIB par habitant est de 12,800$.² Le territoire vénézuélien renferme de fabuleuses richesses naturelles, dont une partie importante reste encore inexploitée.

« le tupi-guarani qui sont envoie d'extinction.

La plupart des Vénézuéliens entre eux viennent d'un mélanged'Européens, Indiens, et les racines africaines, tandis qu'une minorité sont exclusivement blanc, noir, ou indien.

C'estpour cela qu'il y a de différente religion.

Mais le catholicisme est la religion la plus dominante.

Il y a aussi quelquesprotestants et une communauté juive de Caracas.

Certains Indiens d'Amérique du Venezuela ont également adoptéle catholicisme romain.

En réalité, les Vénézuéliens sont peu pratiquants.

La religion n'est peut-être pas leur priorité,mais les liens dans une grande famille sont très importants.

Elle se rassemble souvent pour les repas de famille et lescélébrations.

Les Vénézuéliens ont un esprit d'amusement dans leur amour de rencontres sociales.

La culture duVenezuela a été très influencée dans son histoire par les origines Amérindiennes, Africaine et Hispanique comme parexemple, la musique et la danse.

La culture autochtone est, aujourd'hui, dans la musique à travers certainsinstruments, entre autres le cameo, un tambour et le batuto qui est une sorte de trompette.

La culture hispanique apermis également la création de nombreux genres populaires, tels que le galerón, le corrido et la guaracha.

Lamusique populaire d'origine Afro-Antillaise domine dans les c½urs des Vénézuéliens.

Gaita est une des importantesmusiques traditionnelles qui est jouée lors des jours de fête et Joropo est la danse nationale du pays.

La danse estaussi importante dans la culture comme le merengue, la cumbia et la salsa.

Autre que la culture, il y a aussil'éducation qui est importante.

Hugo Chavez, président du Venezuela, a mis en place des programmes sociaux dontplusieurs programmes en éducation tels que les « Misión Robinson» (campagne d'alphabétisation), «Misión Ribas»(pour les exclus du système scolaire) et «Misión Sucre» (pour les élèves du secondaire), destinés à l'alphabétisation.La scolarisation commence à l'âge de six ans et est obligatoire pour les six premières années.

Par contre, lespauvres ne peuvent se permettre la scolarité.

Au Venezuela, il y a eu des groupes sociaux dont l'élite et la classemoyenne.

L'élite est moins de 10% de la population et elle est composée de la population blanche traditionnelle, leseuropéens qui sont les immigrants de plus grandes possibilités de participation à la richesse économique duVenezuela.

Le Venezuela a également développé une importante classe moyenne au XXe siècle à cause des revenusdu pétrole. PolitiqueLe Venezuela est une république fédérale multipartie à régime présidentiel.

En d'autres termes, c'est une démocratieoù il y a une association de plusieurs partis.

Le président qui a le pouvoir exécutif a une prééminence sur le pouvoirlégislatif, soit l'Assemblée nationale, et le pouvoir judiciaire.

Au Venezuela, c'est Hugo Chavez qui détient ce rôle duchef d'État et du chef du gouvernement.En 1959 avec Romulo Betancourt au pouvoir, le pays développait peu à peu son économie.

Il devenait dépendant del'industrie pétrolière.

C'est alors qu'en 1994, une grave crise financière a éclaté au mécontentement du peuple.Cette situation favorisait l'élection d'un nouveau candidat populiste de gauche, Hugo Chavez, à la présidence en1998.

En 1999, une nouvelle Constitution a été approuvée et il a renommé la République du Venezuela en Républiquebolivarienne du Venezuela.

Puis, en 2002, il a été réélu président pour un mandat de six ans.

À la tête dugouvernement, il a nationalisé beaucoup de compagnies, notamment les grandes entreprises américaines pétrolières.Cela a engendré des campagnes médiatiques anti-Chavez venant des personnes prônant le capitalisme.

En avril2002, il y a eu une tentative de coup d'État contre lui par Carlos Andres Perez et la CIA.

Mais Hugo Chavez estrevenu au pouvoir trois jours plus tard.

En 2005, aux élections législatives, les partis de gauche qui soutiennentChavez comme le MVR (Mouvement de la Cinquième République) emportent 70% des sièges.

À l'opposition, il y avaitles partis du centre-gauche, du centre-droit et de la droite comme l'Action démocratique.

À nouveau en 2006, HugoChavez a été réélu président.

Sous son gouvernement, il a fait des réformes politiques, économiques et sociales enfaveur des classes défavorisées du pays.

Par exemple, il a donné trois millions d'hectares de terre à des paysans, ainstallé de milliers d'écoles et de services de santé dans les quartiers démunis.

La durée du travail hebdomadaire adiminué et le salaire minimum a augmenté.

Au bilan, la pauvreté a baissé de 5%.

Il y a également eu une fortepériode de croissance économique.

Souhaitant abolir la limite du nombre de mandats que peut effectuer unprésident, Chavez a lancé un référendum.

Bush a apporté plus de huit millions de dollars à ses opposants pour faireune campagne contre lui.

Finalement, Hugo Chavez a perdu sa consultation.

Pour le moment, il reste au pouvoir etprévoit briguer un troisième mandant aux élections de 2012.

Entre-temps, Hugo Chavez intervient beaucoup dansl'aide social et il nationalise de plus en plus d'entreprises.

Il s'est associé avec des pays anti-américains etcommunistes comme le Cuba, d'où son plus grand allié Fidel Castro vient, l'Iran, la Chine, la Russie, la Corée du Nordet la Syrie.

Concernant la gestion des migrants, le Venezuela traite chaque demande individuellement.

Mais de façongénérale, il accepte ceux qui ont travaillé pendant plusieurs années dans le pays ou ceux qui ont des liens deparenté ou de mariage. PolitiqueLe Venezuela est une république fédérale multipartie à régime présidentiel.

En d'autres termes, c'est une démocratieoù il y a une association de plusieurs partis.

Le président qui a le pouvoir exécutif a une prééminence sur le pouvoirlégislatif, soit l'Assemblée nationale, et le pouvoir judiciaire.

Au Venezuela, c'est Hugo Chavez qui détient ce rôle duchef d'État et du chef du gouvernement.En 1959 avec Romulo Betancourt au pouvoir, le pays développait peu à peu son économie.

Il devenait dépendant del'industrie pétrolière.

C'est alors qu'en 1994, une grave crise financière a éclaté au mécontentement du peuple.Cette situation favorisait l'élection d'un nouveau candidat populiste de gauche, Hugo Chavez, à la présidence en1998.

En 1999, une nouvelle Constitution a été approuvée et il a renommé la République du Venezuela en Républiquebolivarienne du Venezuela.

Puis, en 2002, il a été réélu président pour un mandat de six ans.

À la tête dugouvernement, il a nationalisé beaucoup de compagnies, notamment les grandes entreprises américaines pétrolières.Cela a engendré des campagnes médiatiques anti-Chavez venant des personnes prônant le capitalisme.

En avril2002, il y a eu une tentative de coup d'État contre lui par Carlos Andres Perez et la CIA.

Mais Hugo Chavez estrevenu au pouvoir trois jours plus tard.

En 2005, aux élections législatives, les partis de gauche qui soutiennentChavez comme le MVR (Mouvement de la Cinquième République) emportent 70% des sièges.

À l'opposition, il y avait. »

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