Devoir de Philosophie

ORAN VILLE D'ALGÉRIE : Capitale de l'Ouest algérien

Publié le 22/09/2013

Extrait du document

Alors que la rue Sidi Brahim Tazi s'engage parmi les vestiges de la vieille ville arabo-espagnole, les deux boulevards Emir Abdelkader et Maata Mohamed El Habbib desservent respectivement le quartier conunercial, délimité par les rues Mohammed Khemisti et Larbi Ben M'Hidi, et le quartier administratif, qui précèdent les faubourgs. Si l'architecture s'arme d'audace et devient résolument moderne, les classes aisées, qui se sont substituées aux Européens, leur préfèrent les appartements luxueux du Front de mer ou du centre, tandis que sur le pourtour se multiplient les lotissements destinés à une population moins favorisée.

Centre commercial et industriel, Oran, troisième port d'Algérie, exporte surtout des produits agricoles. Fondée par des musulmans andalous au Xe siècle, la ville fut un repaire de pirates avant d'être occupée par les Espagnols et les Français.

« ou ni Lahcène b.

Ben M'\-\idi flue La< ' ELOM ~ Be/hocine / y .venue Aspirant Hamou Mokhtar 1diod iffus io 11 Télévisio11 9.-:>v~ EL B &,~ KHALLADIA !J, 'c-?q ~ .,,,.

IBN SINA "' " rr EL MAKHARI 300 m ÛRAN Une terrasse sur la Méditerranée Dans la plus «étrangère» des villes algériennes coexistent les architectures témoins des différentes colonisations.

A u bord de la Méditerra­ née , Oran a élu domicile sur une vaste baie ouverte au nord et dominée directement à l'ouest par les sommets de la montagne escarpée de l'Aïdour.

Chef-lieu de wilaya , son agglo­ mération se déploie sur une ter­ rasse fondant brutalement sur la mer.

Le littoral , de Mers el-Kebir à Arzew , déroule une intense activité industrielle.

Son exten­ sion spatiale a généré un urba­ nisme contrasté .

Plantée d'arbres près de la Grande Mosquée , la promenade Ibn Badis s'enroule autour du Château Neuf et dé­ voile la ville basse adossée au port .

Des docks , la rampe du Commandant Farradj rejoint la place du 1 c' novembre, cœur du quartier européen édifié au début AVOIR Le Castillo Viejo ou vieille Cas­ bah (Qasbah) , la Grande Mos­ quée ou mosquée du Pacha , le Château Neuf, le musée muni­ cipal Demaeght , la cathédrale du Sacré-Cœur.

EN CH IFFRES Popu lation _ __ 599 000 habitants.

Superficie des bassins _ 102 ha.

Grande jetée ___ 2 827 m.

Trafic portuaire : Oran ___ __ 3,2 Mt/an, Arzew ____ 23,3 Mt/an.

·3 8 I ....._ c s du siècle , qui permet d 'accèder aux différents secteurs de la ville.

Alors que la rue Sidi Brahim Tazi s 'engage parmi les vestiges de la vieille ville arabo-espagnole , les deux boulevards Emir Abdelka­ der et Maata Mohamed El Hab­ bib desservent respectivement le quartier conunercial , délimité par les rues Mohammed Khe­ misti et Larbi Ben M'Hidi , et le quartier administratif , qui précè­ dent les faubourgs.

Si l'architec­ ture s'arme d'audace et devient résolument moderne, les classes aisées, qui se sont substituées aux Européens , leur préfèrent les appartements luxueux du Front de mer ou du centre , tandis que sur le pourtour se multiplient les lotissements destinés à une popu­ lation moins favorisée.

c8 -- 0 Rue Larbi Ben M'Hidi (anciennement rue du Général Leclerc).. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles