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L'influenza conquiert le monde 1918-1920 (histoire)

Publié le 16/03/2012

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histoire

Des milliers d'Espagnols ont été forcés de garder le lit à partir du 1er février 1918. Ils souffraient de fortes températures et de douleurs sur tout le corps. Après trois jours de maladie, la plupart d'entre eux étaient sur pied. Cette épidémie était beaucoup moins grave que la sérieuse grippe russe des années 1889-1890. Au début de l'été, cette grippe légère avait atteint la plupart des régions du monde. Au début de septembre, une deuxième offensive commença, beaucoup plus mortelle....

histoire

« Ci-dessus: Jeunes garçons à New York en 1917 .

Ils portaient au cou de petits sacs de cam­ phre, dans l'espoir d'échapper au virus de l'influenza .

A cause du manque de médicaments contre c.ette épidémie , ces petits remèdes familiers étaient le seul espoir de l'homme de la rue pour échapper à la maladie .

A gauche : Embarquement de troupes anglaises pour la France pendant la Première Guerre mondiale.

L'influenza prélevait un lourd butin parmi les soldats appartenant à la catégorie d'âge qui donnait le plus de prise à la maladie.

Des milliers d'Espagnols ont été forcés de garder le lit à partir du 1er février 1918.

Ils souffraient de fortes tempé­ ratures et de douleurs sur tout le corps.

Après trois jours de maladie, la plupart d'entre eux étaient sur pied.

Cette épidémie était beaucoup moins grave que la sérieuse grip­ pe russe des années 1889-1890.

Au début de l'été, cette grippe légère avait atteint la plupart des régions du mon­ de.

Au début de septembre, une deuxième offensive com­ mença, beaucoup plus mortelle.

C'était une nouvelle sor­ te d'influenza, qui avait son origine soit en Amérique, soit en Russie.

Tout comme la première, elle se répandit très rapidement: ce virus dangereux conquit l'univers beaucoup plus vite que les pandémies du passé.

Les trains et les navires à vapeur, produits du progrès, étaient, par une ironie du sort, les véhicules qui favori­ saient une dispersion plus rapide du mal.

Il suffisait de quelques heures à un train pour répandre la maladie, di­ sons du port de Marseille à Paris et de là à Bruxelles et Amsterdam.

Quelques jours suffisaient pour transporter sur toute la largeur du Canada un train complet de trou­ pes infectées par le virus.

Les voyages transatlantiques étaient plus longs.

Il fallut trois semaines au vapeur Nia­ gara pour transporter l'influenza du Canada occidental en Nouvelle-Zélande.

Son arrivée, le 12 octobre 1918, condamna environ mille sept cents citoyens néo-zélandais à mort.

La deuxième vague d'influenza se termina à la fin de 1918.

Au début de 1919, arriva la troisième et der-. »

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